Aldo Mungo aux Assises sur l'islamisation : «La tolérance n'est plus de mise»
http://www.youtube.com/watch?v=s8NSXJVWUEc
Texte intégral :
Je ne vais pas vous parler des problèmes belges entre Flamands et Francophones. Je n’aurais pas terminé ce soir et vous n’y comprendrez de toute façon rien. Je vais vous parler d’une bombe à retardement qui s’appelle Bruxelles.
Ceux qui ont déjà séjourné dans la capitale belge peuvent en témoigner : c’est une ville qui n’a pas su maitriser ses flux migratoires.
40% des Bruxellois sont musulmans. Deux enfants sur trois, de moins de 15 ans, sont musulmans. Et les flux migratoires continuent à grossir cette population.
Le scénario d’une capitale européenne devenant une ville à majorité musulmane dans à peine 20 ans n’est donc pas de la politique fiction.
Pourquoi ce scénario est-il inquiétant ? Le problème n’est pas religieux, il est politique. Que constatons-nous dans certains quartiers de Bruxelles ?
Une atmosphère étouffante, des pressions et des injures visant les femmes qui ne portent pas le voile islamique, des injures publiques contre les femmes dont le compagnon n’est pas arabo-musulman, l’interdiction de fait des commerces qui ne sont pas halal. C’est-à-dire la disparition de tout commerce vendant de l’alcool, du porc et tout ce qui est illicite (haram) aux yeux des nouveaux bigots.
Des écoles où les enseignants ne peuvent plus parler du darwinisme, des croisades ou de la Shoah sans se faire insulter. Des mosquées qui dictent leur volonté à des dirigeants politiques qui, par électoralisme, ont tourné le dos à la laïcité.
Car les codes de conduite musulmans s’imposent désormais dans des quartiers entiers de la capitale européenne.
Durant le dernier Ramadan, le bourgmestre socialiste (maire) de Molenbeek, le tristement célèbre Philippe Moureaux, a donné des instructions strictes à ses fonctionnaires, y compris de police. Interdiction leur a été faite de boire ou manger durant leur service dans les locaux municipaux ; l’interdiction valant pour les voitures de police en patrouille.
Dans les deux prisons bruxelloises, l’ensemble des prisonniers (1% de la population de la capitale) sont déjà depuis plusieurs années soumis au régime alimentaire halal pour tous ; même pour les 10% de non-musulmans.
Durant le dernier ramadan, la nouveauté a été que chacun a été privé de repas le midi.
Que constatons-nous encore ?
Une vaste régression sociale que beaucoup refusent de voir. Je veux parler de la relégation au foyer d’un nombre croissant de femmes. Parce que leurs maris rétrogrades ne veulent pas qu’elles travaillent avec des hommes. D’une dégradation sanitaire, parce que des hommes qui pensent encore vivre au Moyen-âge interdisent à leurs femmes de se faire soigner par d’autres hommes. Des femmes dont le seul revenu est soit le chômage, soit le revenu d’intégration distribué à vie.
Mais c’est clair : elles ne peuvent pas s’intégrer, elles ne s’intégreront jamais dans le marché du travail. Leur famille, leur mari, ne le veulent d’ailleurs pas. La Belgique en est donc réduite à ne plus être qu’un vaste guichet social. Une machine à distribuer l’assistanat.
Ce n’est pas tenable. Ce n’est pas digne.
Ni pour ces femmes, ni pour leurs enfants, ni pour les travailleurs belges ou immigrés installés de longue date et qui, eux, se sont intégrés. Mais il faut bien constater que la majorité des musulmans tendent à revendiquer la non-intégration comme un droit.
Aujourd’hui en Belgique, la multiculturalité est désormais rebaptisée interculturalité, un nouveau concept qui signifie essentiellement que toute croyance – aussi ridicule ou ignoble soit-elle – est correcte et acceptable au nom de la diversité.
Que faire, me demanderez-vous ? Que proposer face à ce défi ?
Il n’y a pas de solution miracle mais il y a un passage obligé. Il faut être intraitable avec ceux qui comptent violer nos valeurs sous prétexte de leur propre origine.
Car c’est la porte ouverte à la scission de la société sur des bases uniquement religieuses, qui vont organiser la société dans l’hystérie piétiste du « pur » (le Halal) et de l’ « impur » (le Haram).
A cet égard, la tolérance n’est pas de mise, et la contrainte est de rigueur. Car les revendications musulmanes se fondent sur le postulat que plusieurs civilisations peuvent coexister sur le même sol.
Cela est faux car cela mène à la guerre civile. Et, c’est évident, seule la position laïque est à même d’assurer la paix civile. En l’occurrence, le devoir des musulmans est de se soumettre aux mêmes règles que celles des autres citoyens. Le rejet de ce devoir doit être compris comme un rejet de la citoyenneté. Et de cela, chacun doit tirer les conséquences qui s’imposent.
Nul n’entend renoncer à l’Etat de droit. Ce serait renoncer à nous-mêmes. Mais si notre droit est impuissant à faire respecter notre mode de vie, changeons-le !
Ne restons plus sur la défensive. Et devenons tous des Résistants.
Que cela soit clair : nous nous opposerons de toutes nos forces à toute volonté d’imposer dans nos pays les lois tribales des bédouins du septième siècle !
RESISTONS et partons à la reconquête de nos valeurs. Ce combat, c’est celui de la démocratie au service de la liberté. Ensemble, ayons la passion de convaincre autour de nos idées et de nos projets. Car les seuls combats que l’on perd sont ceux que l’on ne mène pas !
Citoyens, menons ensemble celui-ci.
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