octobre 08, 2011

Benoît XVI, le Grand Pape confirme une fois de plus ses frères dans la Foi


Assise III: ni syncrétisme, ni relativisme

5 octobre 2011 Source : http://www.riposte-catholique.fr/

Le site américain Rorate caeli a publié un passage d’une lettre de Benoît XVI à son ami, Peter Beyerhaus, professeur luthérien allemand. Le sens général de cette lettre avait été publié voici plusieurs mois (dans un résumé de Beyerhaus lui-même), mais ceci est un passage exact de la lettre du Pape (datée du 4 mars dernier):

 « Je comprends très bien votre préoccupation concernant ma participation à la rencontre d’Assise. Cependant, cette commémoration devait de toute façon être célébrée et, tout bien considéré, il m’a semblé que la meilleure chose serait pour moi d’y aller personnellement, afin d’en déterminer le sens. Je vais néanmoins tout faire pour qu’une interprétation syncrétiste ou relativiste de l’événement soit impossible et pour que ce qui reste, soit ce que j’ai toujours cru et confessé – et sur quoi j’ai appelé l’attention de l’Eglise dans la déclaration «Dominus Iesus».

 Je précise que ma traduction n’est pas littérale. Et que la version anglaise, que j’ai utilisée, n’est pas la version originale. Mais le sens, en tout cas, me semble fondamental: le Pape insiste pour prohiber toute interprétation syncrétiste et relativiste et pour lire Assise III dans la lumière de « Dominus Jesus ». Attendons de voir ce qui sortira finalement de l’événement, mais cette mise au point est une bonne nouvelle.

Source et texte tel que reproduit : http://www.riposte-catholique.fr/

octobre 05, 2011

Sami Aldeeb : “Le Coran a été écrit par un rabbin”


Sami Awad Aldeeb Abu-Sahlieh est chrétien d’origine palestinienne, de nationalité suisse, licencié et docteur en droit (Fribourg), diplômé en sciences politiques (Genève), habilité à diriger des recherches (Bordeaux), professeur des universités (CNU France, sections 1 et 15), responsable du droit arabe et musulman à l’Institut suisse de droit comparé (1980-2009), directeur du Centre de droit arabe et musulman, professeur invité aux universités d’Aix-en-Provence, Cergy-Pontoise, Grenoble, Palerme, Trente et Lugano. Auteur de nombreux ouvrages et articles sur le droit arabe et musulman, dont une traduction du Coran par ordre chronologique en français (et prochainement en italien et en anglais), et une traduction arabe de la constitution suisse pour la Confédération.

Rome en est-il venu à élever des statues aux idoles ?


Selon le journal LA CROIX  en sa version Internet du 4 octobre,


« A Lyon, la statue de Jean-Paul II sème la concorde

La bénédiction de la statue du pape polonais, dressée sur la colline de Fourvière, devrait rassembler mercredi 5 octobre les communautés religieuses et civiles rencontrées lors du voyage du pape à Lyon, en 1986. »

L’installation d’une telle statue - de surcroît sur la colline de Fourvière -, est de nature à surprendre le Chrétien. Je croyais pour ma part sauf erreur, que la Capitale Chrétienne des Gaules s’était placée sous la protection de la TS Vierge Marie.

Un homme, fut-il Pape de Rome, peut-il recevoir une telle « consécration » sans provoquer (hors l’aspect politique qui peut conduire à l’unanimité mais les Conciles furent toujours très précis, en déclarant que l’Eglise n’a pas à s’occuper du politique mais du spirituel), sans provoquer donc un grave risque de confusion dans l’appréciation des valeurs qui distinguent les quelques statues ainsi érigées  dans le monde - toutes sauf erreur  -en l’honneur de Jésus+ Christ, avec d’autres attachées à des hommes, fussent-ils l’idole des jeunes ou idolâtrés.

L’histoire retiendra sans nul doute que cet évêque de Rome dut l’ami des jeunes, mais le théologien que retiendra-t-il de ce pontificat ?

Selon les Kabbalistes, comme le souligne mon ami Emmanuel  LEVYNE,  « le peuple de l’Ancienne Alliance » (si j‘ose m’exprimer ainsi), est toujours sous la dépendance du péché du veau d’or jusqu’à la venue du Messie :


(texte malheureusement incomplet)

N’est-il pas à  craindre  qu’une telle statue placée  en vue plongeante  sans doute, sur  le lieu des Martyres de la grande persécution, en cette ville qui recevait si tôt le Christianisme prêché depuis Marseille au fil du Rhône jusqu’à la capital e des Gaules, devienne peu ou prou, consciemment ou non, un nouveau Veau d’or ?

Jean-Pierre BONNEROT