" Éternel! que ta grâce soit sur nous" demande le Psalmiste (Ps. XXXIII, 22)
La Grâce vient
de Dieu ! Comment dès lors pouvons-nous envisager une injustice venant de Dieu,
l'explication sinon l'excuse serait alors notre négation de QUI EST DIEU,
l'être présumant CONNAITRE et CONTROLER
le monde, la Création, se substituer à Dieu, dans une vision nécessairement
égoïste, puisque ne prenant pas en compte l'autre, les autres, ne cherchant pas
alors à réfléchir sur les raisons d'un événement que nous refuserions, tout
devant être comme nous le pensons : ceci manifeste une ABSENCE de toute
conscience du principe d' ECONOMIE que le Christianisme nomme COMMUNION DES
SAINTS, et par ailleurs un manque
d'humilité.
Ainsi le 6°
Canon du 2° Concile d'Orange, tenu
en 529 expose :
" Si quelqu'un
dit que la miséricorde nous est donnée par Dieu lorsque, sans la grâce, nous
croyons, nous voulons, nous désirons, nous faisons des efforts, nous
travaillons, nous prions, nous veillons, nous étudions, nous demandons, nous
cherchons, nous frappons à la porte et qu'il ne confesse pas que notre foi,
notre volonté et notre capacité d'accomplir ces actes comme il le faut se font
en nous par l'infusion et l'inspiration du Saint- Esprit ; s'il subordonne
l'aide de la grâce à l'humilité ou à l'obéissance de l'homme et s'il n'admet
pas que c'est le don de la grâce elle-même qui nous permet d'être obéissants et
humbles, il résiste à l'Apôtre qui dit : " Qu'as-tu que tu n'aies reçu ?
" I Cor. IV, 7 et : " C'est par la grâce de Dieu que je suis ce que
je suis " I Cor. XV, 10." (1)
I
- LOI JUSTICE INJUSTICE ET GRACE
L’Apôtre déclare énigmatiquement
peut-être bien :
" La loi, elle, est intervenue pour que prolifère la faute, mais là où le
péché a proliféré, la grâce a surabondé" (Romains V, 20)
Si des Pères
éminents comme Jean Chrysostome ou Augustin se gardent bien de commenter cette
phrase de Paul, pour sa part Thomas d'Aquin, en son Commentaire de la lettre de St Paul aux Romains, ne manque pas de reconnaître
une difficulté.
Préalablement le Docteur angélique rappelle :
" Si la Loi commande, elle ne donne pas la
grâce d’accomplir, comme l’enseigne saint Paul (II Cor., III, 6): "La
lettre tue, mais l’esprit vivifie," parce qu’il aide intérieurement notre
faiblesse, comme le même apôtre l’enseigne au ch. VIII de cette épître. b)
Lorsqu’il dit (verset 15): "où n’est pas la Loi," il montre de quelle
manière cette Loi produit la colère, en disant: "Là où n’est pas la Loi, il n’y a pas de prévarication," parce
que, si l’on peut sans la Loi pécher en agissant contre ce qui est
naturellement juste, on ne peut appeler quelqu’un prévaricateur qu’autant qu’il
transgresse une loi (Psaume CXVIII, 158): "J’ai vu les prévaricateurs de
votre Loi, et je séchais de douleur." (2)
Et de poursuivre
:
" La
seconde difficulté porte sur ce que dit S. Paul (verset 20): "Que la Loi
est survenue pour que le péché abondât," d'où il suit que la Loi est
mauvaise, parce que l’institution dont la fin est mauvaise est elle-même mauvaise,
conclusion qui est en contradiction avec ce mot de S. Paul (I Tim., I, 8):
"Quant à la Loi, nous savons qu('elle) est bonne." ajoutant
: "
Quant
à sa multiplicité. La Loi, en effet, tout en donnant la connaissance du péché, ne détruisait
pas cependant la convoitise d’où sort le
péché". (3)
" Il
faut répondre qu’autre est le but de la loi humaine, autre celui de la loi
divine. La loi humaine, en effet, se rapporte au jugement humain, qui a pour
objet les actes extérieurs; mais la loi divine se rapporte au jugement de Dieu, qui prononce sur les mouvements intérieurs
du coeur (I Rois, XVI, 7): "L’homme voit ce qui parait, mais le Seigneur
voit le coeur." (3)
Ainsi que le rappelle l'Apôtre : " nul
ne sera justifié devant lui par les oeuvres de la loi, puisque c'est par la loi
que vient la connaissance du péché" (Rom III, 20)
"La
loi est-elle donc contre les promesses de Dieu?" interroge ;
l’Apôtre et de répondre aux Galates : "Loin
de là! S'il eût été donné une loi qui pût procurer la vie, la justice viendrait
réellement de la loi. Mais l'Écriture a tout renfermé sous le péché, afin que
ce qui avait été promis fût donné par la foi en Jésus-Christ."
(Galates III, 21,22).
Les conceptions que nous pourrions
avoir sur la justice et l'injustice,
dépendent de l'établissement et du respect d'une Loi sinon de la Loi à l'égard
de laquelle l'éminent kabbaliste et
Frère dans la Foi en Dieu, Emmanuel
LEVYNE explique que la Loi est transitoire et disparaîtra à la venue du
Messie (pour les Chrétiens lors de Sa seconde venue ou Parousie) en son texte
fondamental que nous rappelons souvent : Lettre
d'un kabbaliste à un rabbin - Loi et Création (4). Emmanuel LEVYNE rappelle en ses notes justifiant sa lettre :
- que le règne de la Tora est
transitoire (Zohar I, 27b - 28a)
- que la loi s'est imposée à la suite du
péché du veau d'or (Zohar I, 26b)
- que la loi disparaîtra à la venue du
Messie (Zohar III, 124b)
La Loi est bien transitoire et
insuffisante pour obtenir la Grâce, l'Apôtre rappelant quant à NSJ+C : "Il nous a sauvés, non à cause des oeuvres de
justice que nous aurions faites, mais selon sa miséricorde." (Tite, III, 5)
Si la Justice de la Loi est indépendante de la Grâce, à
plus forte raison l'injustice que nous croyons percevoir, face à la Grâce, ne
saurait avoir de sens.
II
- LA GRACE ET LE LIBRE ARBITRE
Si donc la justice et ce que par voie de
conséquence nous qualifions humainement d'injustice, est indépendant de la
Grâce, qu'en est-il du salut ?
La sotériologie trouve sa raison dans le
principe d'une Chute dite adamique, qui appelle deux réflexions :
- 1° La Chute comme universelle à tous
les êtres
- 2° La Chute dans un temps précis par
nos premiers parents
A propos de la Chute qui constitue celle
de tous les êtres, Origène, le Père
des Pères, précise en son Contre Celse :
... ainsi pour Adam et sa faute, on
trouvera l'explication en sachant que, traduit en grec, le mot Adam signifie
homme, et que, dans ce qui paraît concerner Adam, Moïse traite de la nature de
l'homme. C'est que, dit l'Écriture, “ en Adam tous meurent ”, et ils ont été
condamnés “ pour une transgression semblable à celle d'Adam ” (5)
A propos de la Chute accomplie dans un
temps précis, son scénario et ses conséquences immédiates, le sujet fut maintes
fois rappelé par nos soins (6)
Athanase
d'Alexandrie,
en son traité Sur l'incarnation du Verbe quant
aux conséquences de la Chute déclare : "l'homme
raisonnable, créé selon l'Image, disparaissait et l'oeuvre, suscitée par Dieu
se détruisait." (7)
Cette disparition, cette destruction, ne
sont pas pour autant des situations définitives : il s'agit d'une dynamique qui
ne conduit pas à un jugement rendu en dernier ressort, mais expose un constat
qui s'inscrit dans le temps, à la fin duquel il n'est pas dit que l'Image aura
disparu et que la Création se trouvera détruite.
"Remets-nous
nos dettes. Dans la pensée qu'Adam vit en nous en effet, chacun pour notre part
nous tous, les hommes". (8)
Grégoire
de Nysse explique
: "En vérité, les dettes de nos
frères envers nous, comparées à nos offenses envers Dieu, ne font que quelques
oboles de rien, bien faciles à compter, en regard de talents
innombrables." (9)
Remettre les dettes ! Le Père s'écrie : "Mais cette parole demeure sans effets,
elle ne parvient pas jusqu'aux oreilles divines, à moins que notre conscience n'y
joigne sa voix et ne dise qu'il est beau de faire miséricorde. Qui juge en
effet la clémence digne de Dieu, ferait bien de confirmer son jugement de
valeur par ses propres actes, de peur d'entende le juste Juge lui dire :
Médecin, guéris-toi toi-même ! Tu m'invites à la clémence, et à ton prochain,
toi, tu ne l'as pas accordée ! Tu demandes la remise de tes dettes ? Comment
peux-tu donc, toi, étrangler ton
débiteur ? Tu pries qu'on annule ton obligation, toi qui conserves avec soin
les reçus dettes obligés ? Tu sollicites l'abolition de tes dettes, toi qui
nourris d'intérêts ton avoir ? Ton débiteur est en prison, et toi en oraison!
Lui gémit de ce qu'il doit, et toi, tu réclames qu'on t'enlève ta dette ? Ta
prière, on ne l'entend pas, elle est couverte par le bruit de ses
gémissements." (10)
Les Pères de l'Orient Chrétien posent
face à la Chute et ses conséquences le principe d'une interdépendance entre
tous les êtres, alors que l'Occident Chrétien
perçoit dans la faute Adamique le principe d'une hérédité de la Chute
pour chacun d'entre nous.
Augustin
interprétera
en effet la parole de l' apôtre : "C'est
pourquoi, comme par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le
péché la mort, et qu'ainsi la mort s'est étendue sur tous les hommes, parce que
tous ont péché" (Romains, V, 12), non pas à partir du grec mais de la
version latine très différente en déclarant :
"Or, c'est bien là cependant
ce que l'Apôtre a dit de nous par rapport au premier homme: « En lui tous ont
péché ». Comment dès lors contester la transmission du péché par
propagation?" (11).
La distinction entre "en lui' et "par qui" constitue une controverse très importante car
donnant vie à deux conceptions très différentes des conséquences de la Chute.
Si donc la version utilisée par les Pères Latins servira à justifier la
doctrine du péché hérité d'Adam et s'étendant sur ses descendants, l'éminent
théologien Jean MEYENDORFF ne manque pas de préciser au regard de l'exacte sens
et traduction de ce passage : « La mort
qui fut "le salaire du péché"(Rom. VI, 23) pour Adam, est aussi le
châtiment qui frappe tous ceux qui pèchent comme lui. Elle
pose que le péché d'Adam a une signification cosmique, mais elle ne dit pas que
les descendants du premier homme sont "coupables" comme lui, à moins
qu'eux aussi pèchent comme lui a péché." (12)
La signification cosmique du péché
d'Adam l'est d'autant plus que la mission d'Adam était de garder et cultiver le Jardin d'Eden,
ce champ de la création qu'il entraîna dans sa Chute (13).
Il ne convient d'adopter le pessimisme
d'Augustin qui déclare : "Quel bien en
effet pourrait accomplir avant d'avoir été arraché à sa misère celui qui s'est
perdu? Serait-ce par un libre effort de sa volonté ? Non, sans doute : car, en
abusant de la liberté, l'homme a perdu ce privilège et s'est perdu lui-même; il
s'est suicidé." (14), l'homme n'a pas perdu le libre arbitre !
Non, l'homme n'a pas perdu
sa liberté et là réside l'une des grandes différences entre l'Orient et
l'Occident au niveau des théologies, lorsque Cyrille de Jérusalem précise et récuse : "Sache aussi que tu as une âme libre, chef-d'oeuvre de Dieu, à
l'image de son auteur, immortelle par la grâce de Dieu qui l'a faite
immortelle. C'est un être vivant, raisonnable et incorruptible, par la grâce de
celui qui lui a conféré ces prérogatives, doué de la faculté de faire ce qu'il
veut." (15)
III
- LA GRACE ET LE SALUT
Parce que l'homme, malgré la Chute, est
libre, qu'il lui est possible d'agir, de choisir le Bien, il lui revient de
coopérer à la rédemption de cette création qu'il entraîna dans sa Chute, non
pas lui, celui qui me lit qui l'entraînait, mais Adam, duquel nous héritons des
Devoir qui lui incombaient, raison pour laquelle à Gethsémani, le Christ ne
prie pas pour le monde mais pour les hommes... afin qu'à leur tour, ils sauvent
le monde (Jean XVII, 9), qu'ils sauvent ce monde qui est dans les douleurs de
l'enfantement (Romains VIII, 19-22). Aussi, ne soyons pas surpris que nul ne
connaisse l'heure ni les anges ni le Fils
(Mat. XXIV, 36), et pour cause puisque par ses bonnes actions et par ses
prières, l'homme peut hâter le Jour de Dieu (II Pierre, III, 11, 12).
Nos éventuelles interrogations sur la
Justice, l'injustice (je pense à la situation de Toy Davis par exemple)
trouvent une réponse non pas dans la valeur des Lois humaines, mais dans
l'Economie qui s'articule selon deux plans :
- le plan de Dieu qui sera toujours un
Mystère
- le plan humain qui doit alors être
porté par le principe de la Réparation (16)
Jésus+Christ nous a sauvé, mais n'oublions
pas ce témoignage de Péladan lors de
sa venue en Terre du Christ : " Me voici seul, à minuit, au mont des
Oliviers entre la grotte de l'Agonie et le jardin de Gethsémani ; la lune
tantôt étincelante, tantôt barrée de nuages, illumine par instants le sinistre
paysage. L'heure approche, l'heure où l'humanité fut déshonorée et sauvée, car
la mort de Jésus, c'est à la fois la plus grande accusation contre l'homme et
le coup suprême de la miséricorde... C'est comme complice de l'assassinat du
Calvaire que je viens, plein du remords de ce que j'aurais pu faire contre mon
Dieu, réfléchir et peser ce mot de Pilate : Qu'est-ce que la vérité ?... Je
cherche ma complicité dans la mort du Sauveur, je ne la trouve pas mais elle
existe. Je ne suis ni Judas, ni Caïphe, bi Pilate ; je suis cependant un
bourreau du Christ, puisque je suis un homme !" (17).
Contrairement à la formule souvent évoquée
: "Dieu s'est fait homme pour que l'homme devienne Dieu" et
faussement attribuée à Irénée de Lyon,
ce Père précisant plus exactement : "le
Verbe s'est fait homme, et le Fils de Dieu, Fils de l'homme : c'est pour que
l'homme, en se mélangeant au Verbe et en recevant ainsi la filiation adoptive,
devienne fils de Dieu" (18)
Ainsi, l'homme entre dans le principe de
participation qui ne saurait le concerner lui seul mais touche l'ensemble des
êtres devant dire oui à ce salut, c'est ce que le monde Latin nomme Communion
des Saints.
Il serait possible d'analyser plus avant
notre ou nos Devoirs, des notes renvoient à ces derniers où si l'homme est déjà
sauvé, il lui revient :
- d'une part d'accepter son salut en
disant OUI à l'appel de Dieu
- d'autre part d'agir en faveur de ceux
qui pourraient n'avoir pas dit OUI à cet appel,
- enfin d'agir pour la Création qui fut
entraînée dans la Chute malgré elle
Cela, par les bonnes actions et par les
prières ainsi que le rappelait Pierre.
Aussi, comprendrons-nous cette remarque
livrée par le RP TURINCEV : " Un saint moine du Mont Athos, un storetz qui fut presque notre contemporain, écrit ce qui suit,
en s'adressant à chaque
chrétien : « Quand le Seigneur t'aura sauvé avec toute la multitude de tes frères, et quand il ne resterait qu'un seul des ennemis du
Christ et de l'Eglise dans les
ténèbres extérieures, ne te mettras-tu pas avec tous les autres à implorer le Seigneur afin
que soit sauvé cet unique
frère non repenti ? Si tu ne le supplies pas jour et nuit, alors ton cœur est de fer, —
mais on n'a pas besoin de
fer au paradis. »
(19)
Jean-Pierre BONNEROT
------------------- Notes
1 - Concile
d’ORANGE II (529) In
Les canons des conciles mérovingiens (IV+ VII° siècles) Pais Cerf Ed, coll. SC, page 159.
Les canons 5 et 6 de ce Concile sont les seuls
semble-t-il à traiter dans l'histoire des conciles "occidentaux" de
la Grâce.
Nous utilisons par commodité, l’édition Internet certes incomplète face à
l’édition du Cerf, mais utile, des Symboles et définitions de la Foi
Catholique de DENZINGER : http://catho.org/9.php?d=g0
Pour l’accès aux canons cités : http://catho.org/9.php?d=bv5#crg
2 - Thomas d'Aquin : Commentaire de la lettre de
St Paul aux Romains, commentaire Rom. IV, 11-15.
Pour un accès aisé : http://www.documentacatholicaomnia.eu/03d/1225-1274,_Thomas_Aquinas,_Biblica._Super_Epistulam_ad_Romanos,_FR.pdf
3 - Thomas d'Aquin : op cité, commentaire
Rom. V, 20 & 21
4 - Emmanuel LEVYNE : Lettre d'un
kabbaliste à un rabbin, Paris, TSEDEK Ed, 1978. Pour un accès Internet :
Pour les références au
Zohar, la traduction à choisir est celle de Jean de Pauly, en l'espèce,
Paris, Ed Maisonneuve et Larose, 1975 :1° tome 1 pages 174 et 175 ; 2°
tome I, page 167 ; 3° tome V, page 322. Le 2° lien donne les textes en la 2° Partie.
5 - ORIGENE : Contre Celse,
IV, 40, SC N° 136, Paris Cerf Ed, 1968, page 289. Pour la présente
transcription, est utilisé le CD VERBUM DOMINI : Le texte est présentement
strictement identique.
6 - J-P BONNEROT : Sathan Lucifer le Prince de ce monde et les démons
dans la tradition chrétienne et l'exégèse scripturaire Cahiers d'Etudes
Cathares N° 96, hiver 1982, pages 8 & 9 notamment.
Pour un accès via Internet
en ce cas pages 6 à 8 selon le lien :
7 - Athanase d'Alexandrie : Sur
l'Incarnation du Verbe 6,1. SC N° 199, Paris Cerf Ed, 1973, page 283. Nous
n'avons pas trouvé d'édition électronique sur Internet.
8 - Grégoire de Nysse : La Prière
du Seigneur homélie V, 4, DDB Ed, 1981, page 91
9 - Id, IX, page 96
10 - Id, VII, page 95 Nous
n'avons pas trouvé d'édition électronique sur Internet.
11 - AUGUSTIN : Controverse avec
les Pélagiens - Du mérite et de la rémission des péchés et du baptême des
petits enfants I, 10, 11
Pour un accès aisé via
Internet :
12 - Jean MEYNEDORFF : Initiation
à la théologie Byzantine Paris, Cerf Ed, 1975, pages 194 & 195.
Signalons la réédition de ce livre fondamental aux Ed du Cerf;
13 - Cette question fut plusieurs fois examinée, nous renvoyons à nos
précédents travaux :
14 - AUGUSTIN : Traité de
la Foi, de l'Espérance et de la Charité. ch. 30. Je conseille l'acquisition du CD relatif aux
oeuvres de nombreux Pères, près l'abbaye St Benoît de Port- Valais. Pour un
accès déjà sur Internet :
15 - Cyrille de Jérusalem : Catéchèses,
4° Catéchèse, § 18, Namur, Ed du soleil levant, 1961, pages 93 &
94.Pour un accès via Internet aux oeuvres complètes : http://www.archive.org/details/opensource
16 - J-P BONNEROT : Approche
d'une explication de la doctrine de la Réparation Revue VIRGO FIDELIS N°
197, juillet 2003, pages 9 ss, Pour un accès Internet : http://theologie-et-questions-disputeses.blogspot.com/2005/10/4-approche-dune-explication-de-la.html
17 - J. PELADAN : La
Terre du Christ Paris, Flammarion Ed, 19O1, pages 283, 284 et 288
(extraits)
18 - Irénée de Lyon : Contre
les hérésies III, 19,1; Paris Ed du Cerf, 1984, page 368.Nous utilisons
l'édition n'offrant que la traduction française, reprenant l'édition des
Sources Chrétiennes. Pour un accès aisé via Internet : http://remacle.org/index2.htm
19 - RP Alexandre TURINCEV :
L'Eschatologie Orthodoxe Revue CONTACTS N° 54, 1966, page 103.