novembre 09, 2019
Le prêtre qui a brûlé les Pachamama parle : elles « parodient » Notre Dame de Guadalupe
Les « Pachamama » vénérées de manière idolâtre au Vatican et dans la ville de Rome au moment du synode sur l’Amazonie étaient une « parodie » de la Vierge de Guadalupe, selon un exorciste mexicain cité par le prêtre qui a brûlé des effigies de la statuette il y a quelques jours au cours d’un rite de réparation que l'on peut voir ici sur le blog d'Yves Daoudal.
Ce prêtre catholique de l'archidiocèse de Mexico, le P. Hugo Valdemar Romero, a expliqué dans un entretien avec LifeSiteNews pourquoi il a décidé de brûler des statues païennes de la « Pachamama ». Son geste, visant à expier le péché public d'idolâtrie au synode sur l’Amazonie, se justifiait par la « loi de Dieu », a-t-il déclaré.
La vidéo de la cérémonie qui a eu lieu en fin de semaine dernière est vite devenue virale sur les réseaux sociaux.
Le P. Hugo Valdemar Romero, ancien porte-parole de l'Archidiocèse de Mexico, actuellement grand pénitencier, a déclaré à LifeSiteNews qu’il avait invité les fidèles à participer à cette cérémonie en raison du « scandale et de la douleur causés par les graves actes d'idolâtrie, réalisés au Vatican avec les idoles amazoniennes pendant le synode sur l’Amazonie ».
Voici ma traduction intégrale de l’interview du P. Hugo Valdemar Romero avec Bree A. Dail de LifeSiteNews.*
Qu'est-ce qui a inspiré votre geste, c’est-à-dire la décision de prendre la tête des fidèles pour prononcer des prières de réparation, puis brûler les effigies de la Pachamama ?
Ce sont le scandale et la douleur causés par les graves actes d'idolâtrie, perpétrés au Vatican avec des idoles amazoniennes pendant le synode sur l'Amazonie. De nom nombreux fidèles, très blessés et en colère, se sont tournés vers moi ; ils nous demandaient (au clergé) de faire quelque chose pour montrer que nous rejetons l'idolâtrie et pour demander pardon à Dieu pour tant de sacrilèges et de profanations. J'ai donc décidé de faire ces actes de réparation.
Avez-vous parlé à des exorcistes d'Amérique latine et croyez-vous que ces rituels relevaient d’une influence démoniaque ?
Oui, j'ai parlé à un exorciste de Mexico qui m'a affirmé que la figure de la Pachamama était une parodie de la Vierge de Guadalupe. La Sainte Vierge, Notre Dame de Guadalupe apparaît dans sa sainte image comme une femme enceinte. Elle est venue pour donner naissance à Jésus, Lumière du Monde et seul Vrai Dieu, le seul but de notre vie. Elle est venue comme la Femme de l'Apocalypse, revêtue de soleil, et la lune à ses pieds. Cette Pachamama, en revanche, est sur le point de donner naissance à une créature rouge, de couleur démoniaque, et cette créature n'est rien de moins qu'une « nouvelle église ». Cette « église » est née du synode qui vient de s'achever – cette soi-disant « église à visage amazonien » qui prétend célébrer des rites orthodoxes, mais qui promeut (la notion de) diacres féminins et de prêtres mariés, l’exact contraire de la doctrine catholique et de la tradition de l'Église (romaine).
Dans votre vidéo, nous vous voyons parler de Notre-Dame de Guadalupe. A S. Maria in Traspontina, l'image de Notre-Dame de Guadalupe pouvait se voir, poussée sur le côté d’un des autels latéraux – où les Pachamamas ont été placées. Estimez-vous que c'est important ?
Bien sûr, c'est la grande imposture de la déesse satanique Pachamama. Elle cherche à usurper la place de Notre Dame de Guadalupe, à ôter de la foi catholique Celle qui est la Mère du Vrai Dieu, et à mettre à la place de Notre Dame la Terre-Mère, qui en réalité est idolâtrie, panthéisme et superstition.
En quoi l'apparition de Notre Dame à Guadalupe fut-elle significative pour contrer le paganisme en Amérique latine ?
Ce fut fondamental, parce que, comme le disait saint Jean Paul II, elle était le modèle parfait de l'inculturation. Cela veut dire que Notre Dame a pris des éléments de la culture du monde indigène, non pas pour créer un syncrétisme avec le paganisme, mais pour purifier certains symboles et leur donner un sens chrétien. En attendant, avec la Pachamama, l'intention n'est pas l'inculturation authentique mais une usurpation diabolique pour restaurer l'idolâtrie.
Il semble y avoir eu une montée de l'occultisme au Mexique, y compris la « Santería ». Croyez-vous que les rituels au Vatican relevaient du même synchronisme, et pourquoi ?
Malheureusement, là où la foi est affaiblie, le paganisme et la superstition reviennent. C'est ce que nous voyons, non seulement au Mexique, mais dans tout le monde occidental, qui a abandonné le christianisme, et qui le compense par des superstitions, le Nouvel Age et le Satanisme.
Vos détracteurs ont affirmé que vous avez manqué de respect envers la culture indigène en brûlant les effigies de la Pachamama. Pouvez-vous nous expliquer comment l'histoire de l'Amérique latine, y compris au Mexique, vient au secours de vos actes de réparation et de prière ?
Ceux qui exigent le respect doivent aussi respecter. Personne n'aurait rien dit si les idoles amazoniennes avaient été exposées dans les musées du Vatican ou dans une salle d'exposition, mais ce qu’ils ont fait est une véritable abomination et un sacrilège. Nous avons regardé, stupéfaits, comment les idoles étaient vénérées devant le Pape lui-même, dans les jardins du Vatican, et nous avons été témoins des rituels de culte quotidiens dans l'église de Santa Maria in Traspontina. Outre que c’était un crime contre la loi divine, c'était une offense pour les catholiques qui rejettent l'idolâtrie et qui ne veulent pas être témoins de la profanation de nos églises.
Nous avons vu, ces derniers mois, un évêque colombien exorciser son diocèse (à cause du niveau élevé de drogue, de violence et d'occultisme que l’on y trouve), ainsi que de violentes féministes pro-avortement essayer de brûler la cathédrale de Mexico City. Des nouvelles de l'escalade de la violence des cartels sont rapportées du Mexique. Penses-vous que tout cela est lié ? Quel est le remède ?
Derrière tout ce qui détruit la vie humaine, comme l'avortement et les crimes liés aux stupéfiants, se cache Satan. Il est « menteur et assassin dès le commencement », comme l'appelle Jésus, et nous pouvons dire que ces deux attributs désignent les pratiques préférées du démon. Nous trouverons toujours son influence quand nous en serons témoins.
Après avoir vu votre vidéo, de nombreuses personnes ont appelé leurs prêtres et leurs évêques à se lever et à organiser à leur tour des actes de réparation. D'autres, plus nombreuses encore, craignent que vous ne fassiez l’objet de représailles de la part de certains membres de la hiérarchie, et que cela n’effraie leur clergé. Qu’en dites-vous ?
Malheureusement, la tolérance, le dialogue et la miséricorde si souvent mis en avant par ce pontificat ne semblent s'adresser qu'à ceux de l'extérieur (de l'Eglise), alors que pour ceux de l'intérieur il y a censure, silence et représailles. Oui, il y a beaucoup de peur, et surtout la peur qu’il n’en résulte un schisme. Mais il y a malheureusement déjà un schisme de facto. En ce qui me concerne, cependant, je n'ai pas encore été censuré et, bien sûr, je suis prêt à répondre de mes actes. Ces actions, cependant, ne sont pas en dehors de la loi de Dieu ou du droit canonique. Je n'ai pas peur parce que je me sens protégé par Dieu et surtout par Notre Dame de Guadalupe – je défendrai toujours son honneur.
Quel message souhaiteriez-vous nous adresser ?
Seulement que nous ne devons pas perdre la foi ! La foi est ce qui vainc le monde. Ne manquez pas d'aimer Christ de toute votre âme. Ne manquez pas d'aimer Sa Sainte Mère et l'Eglise, qui traverse une grande tribulation dans laquelle, à la fin, le Christ triomphera, n'en doutez pas.
***
Prières récitées par le P. Hugo Valdemar Romero
pendant la destruction des effigies de la Pachamama par la feu
Prières de réparation
Sainte Trinité, Père, Fils et Saint-Esprit, recevez des mains de l'Immaculée, Mère de Dieu, Vierge Marie de Guadalupe, de notre cœur contrit, un acte sincère de réparation pour les actes d'adoration des idoles et des fétiches sataniques qui ont eu lieu à Rome, Ville éternelle et cœur du monde catholique, au cours du synode sur l'Amazonie.
Versez dans le cœur des cardinaux, des évêques, des prêtres et des religieux et religieuses votre Esprit, qui expulsera les ténèbres des esprits, afin qu'ils reconnaissent l'impiété de tels actes, qui ont offensé Votre Divine Majesté, et qu’ils offrent des actes de réparation et de consolation.
Accordez à tous les membres de l'Église la lumière de la plénitude et de la beauté de la foi catholique. Enflammez chacun du zèle ardent d'apporter le salut de Jésus-Christ, Vrai Dieu et vrai homme à tous les hommes, en particulier ceux de la région amazonienne, qui sont encore esclaves des idoles et de la superstition, afin que tous les gens de cette région atteignent la liberté des enfants de Dieu, et aient le bonheur indescriptible de connaître Jésus Christ, et par Lui entrent dans la vie de votre Nature Divine.
Sainte Trinité, Père, Fils et Saint-Esprit, toi, le seul vrai Dieu, en dehors duquel il n'y a pas d'autre dieu ni salut, ayez pitié de votre Église. Regardez surtout les larmes, les soupirs contrits et humbles de vos fidèles et bénissez et protégez les vrais héros chrétiens qui, dans leur zèle pour votre gloire et dans leur amour pour l'Église Mère, ont jeté prophétiquement dans l'eau les idoles des abominations.
Ayez pitié de nous : pardonnez-nous, Seigneur ! Ayez pitié de nous : Kyrie eleison !
Prières déprécatives
1. Pardonnez-nous, Seigneur, l'acte sacrilège d'adoration de la Pachamama et des idoles amazoniennes dans les jardins du Vatican.
Seigneur, ayez pitié, Christ, ayez pitié.
2. Pardonnez-nous, Seigneur, pour la profanation de la basilique et du tombeau de l'apôtre saint Pierre, où ils ont prié et chanté aux idoles amazoniennes.
Seigneur, ayez pitié, Christ, ayez pitié.
3. Pardonne-nous, Seigneur, pour la procession du canot maudit avec les fétiches amazoniens portés par les évêques, religieux et laïcs dans la salle synodale.
Seigneur, ayez pitié, Christ, ayez pitié.
4. Pardonnez-nous, Seigneur, pour la profanation de l'église dédiée à votre Sainte Mère, sous l’invocation de Santa María in Traspontina, à Rome, où des ont abrité les idoles diaboliques de la Pachamama et l'ont adorée, offensant la mémoire de notre Sainte Mère et la sainteté de ta Maison.
Seigneur, ayez pitié, Christ, ayez pitié.
5. Pardonnez-nous, Seigneur, pour la profanation de votre sainte Via Crucis, sur la Via de la Conciliazione à Rome, où l’on a offensé votre glorieuse Passion.
Seigneur, ayez pitié, Christ, ayez pitié.
6. Pardonne-nous, Seigneur, pour la prières adressées à l'abominable idole de la Pachamama, composée par l'Agence pastorale de la Conférence épiscopale italienne et récitée dans plusieurs églises en Italie.
Seigneur, ayez pitié, Christ, ayez pitié.
7. Pardonnez-nous, Seigneur, pour la profanation de la cathédrale de Lima au Pérou, où ils ont loué l'idole Pachamama, engendrée par Satan et par sa tromperie.
Seigneur, ayez pitié, Christ, ayez pitié.
8. Pardonnez-nous, Seigneur, pour tous les évêques, prêtres, religieux et religieuses qui ont offensé votre sainteté, vous le Dieu unique, en commettant le crime d'idolâtrie et défendant, répandant et adorant Satan à travers la tromperie de l'idole de la Pachamama.
Seigneur, ayez pitié, Christ, ayez pitié.
9. Pardonne-nous, Seigneur, pour les catholiques qui voient sans voir, qui entendent sans entendre, et qui prennent la défense de ces actes démoniaques et abominables d'adoration des idoles amazoniennes, tromperie du démon. Ne laissez pas leurs âmes se perdre, donnez-leur Votre Lumière Divine pour ne faire qu'un avec Vous, le seul Vrai Dieu.
Seigneur, ayez pitié, Christ, ayez pitié.
10. Pardonnez-nous, Seigneur, pour le cautionnement de l'« écologie intégrale », le mépris de l'être humain, le manque de courage pour défendre l'enfant à naître, les avortements et les crimes sans fin de tes enfants.
-->
Seigneur, ayez pitié, Christ, ayez pitié.
© leblogdejeannesmits pour la traduction.
novembre 08, 2019
Dieu qui est Amour n’est pas celui de l’Islam
I
Il convient de garder en mémoire ces propos de Mgr Christodoulos en 2007, au cours d'un séminaire du clergé orthodoxe consacré à la "connaissance de l'islam » :
"Ceux qui suivent les ordres de l'Evangile ne maltraitent pas leurs semblables, alors que les musulmans oppriment et exterminent en invoquant le Coran, en invoquant la charia".
"Cela arrive car dans l'islam il n'y a pas de distinction entre le royaume de César et le royaume de Dieu, entre l'Etat et la religion".
Mgr Christodoulos a également déploré que le dialogue entre les deux religions n'empêche pas la poursuite des "persécutions" de chrétiens dans les pays islamiques, alors qu'il a conduit "à une sérieuse amélioration des conditions de vie des musulmans en Europe". Il a toutefois plaidé pour la poursuite de ce dialogue au nom de la "recherche de la paix et de la solidarité envers des millions de victimes innocentes de la guerre, de l'esclavage, de la pauvreté et des maladies".
II
La prédication de Mahomet constitue-t-elle l’expression d’une religion, de plus fort d’une religion révélée par Dieu ?
Il convient préalablement de contester et sourire de la prétendue annonce de la venue de Mahomet dans le Nouveau Testament à et de plus fort dans les Evangiles : quel orgueil de considérer un homme comme étant ou représentant l’Esprit Saint ! Le Prince de ce monde lui-même n’a pas cherché cette confusion, lorsqu’il convient de souligner en revanche, l’apparente humilité commune et au Prince de ce monde qui ne décline pas son titre lors des tentatives de tentation au Désert mais que lui reconnaît Jésus+Christ en ne contestant pas que tous les royaumes de ce monde (provisoirement) sont sous sa domination [Mat ; IV, 8-11] et à Mahomet qui se présente comme un prophète qui aurait été annoncé les Ecritures après la venue de Jésus+Christ, lorsqu’il est annoncé par le Sauveur : « Lorsque viendra le Paraclet que je vous enverrai d'auprès du Père, l'Esprit de vérité qui procède du Père, il rendra lui-même témoignage de moi” [Jean XV, 27].
De première part, Mahomet n’est pas l’Esprit Saint, de seconde part Mahomet n’a pas rendu témoignage de la Résurrection, et pour cause…
III
Ce rappel des prétentions du Prince de ce monde et de ses serviteurs, n’est pas sans importance, tenter de retarder par tous moyens le Jour de Dieu constitue une satisfaction provisoire, et dans ce sens ne revient-il pas aux besogneux de ce lui qui s’oppose au Salut obtenu par la Résurrection, par tous moyens de tenter de détruire les témoins de la Grâce, de la victoire sur la mort conséquence du péché adamique, aussi le refus de reconnaître le salut opéré par Jésus+Christ s’accomplit sous la forme d’une prédication qui ne peut exprimer un Dieu d’Amour sauvant tous les hommes [Jean XVII, 9], mais un dieu humain, trop humain, national et politique, comme le montrent ces vidéos.
Guerre contre les Chrétiens, contre Rome, mais la malignité de ces serviteurs d’un mauvais combat, engage ses responsables à ne pas conduire aux martyre leurs propres fils (1)Deux vidéos et un article :
Iraniens http://www.youtube.com/v/XHoVuFlrcjA?fs=1&hl=en_US
Palestiniens http://www.youtube.com/v/QWxQS81gXeI?fs=1&hl=en_US
(1) MEMRI : 8 octobre 2002, N° 426 :
Le père de l'auteur d'un attentat suicide: Que les chefs du Hamas et du Djihad islamique envoient donc leurs propres fils!
Dans une lettre au directeur du quotidien arabe Al-Hayat, édité à Londres, [1] Abou Saber, père d'un jeune Palestinien responsable d'un attentat-suicide dans une ville israélienne, écrit :
" Je ne peux trouver de meilleurs termes pour commencer ma lettre que ceux d'Allah, dans son précieux livre [le Coran] : 'Agissez pour Allah, et que vos propres mains ne vous projettent pas dans la destruction'. [2] Je rédige cette lettre avec un cœur qui dépérit et des yeux qui ne cessent de verser des larmes. Nous devons, aujourd'hui plus que jamais, obéir à ce verset coranique, agir pour Allah et éviter de commettre des actes qui nous poussent à la destruction. "
Des amis ont persuadé mon fils de se faire sauter, et maintenant ils s'en prennent à son frère " Il y a quatre mois, j'ai perdu mon fis aîné, après que ses amis l'eurent tenté de suivre le chemin de la mort. Ils l'ont persuadé de se faire sauter dans une ville israélienne. Quand le corps pur de mon fils s'est éparpillé en morceaux, les derniers signes de vie se sont aussi éteints en moi, en même temps que tout espoir et toute volonté d'exister. Depuis ce jour, je suis comme un spectre déambulant, et je ne parle même pas du déplacement que moi, ma femme, mes autres fils et filles avons subi après que notre domicile eut été rasé.
Mais le comble a été d'apprendre que les amis de mon fils aîné, le martyr, ont entrepris de se draper comme des serpents pour entourer mon autre fils, qui n'a pas 17 ans, et l'inciter à suivre le même chemin que son frère, à exploser pour venger ce dernier, lui expliquant qu'il n'a 'rien a perdre'.
Du sang de mon cœur blessé de père qui a perdu ce qu'il avait de plus cher au monde, j'interpelle les dirigeants des factions palestiniennes, et à leur tête les chefs du Hamas, du Djihad islamique et leurs cheiks, qui se servent des préceptes religieux pour pousser un nombre toujours croissant de fils de la Palestine à la mort - tout en sachant pertinemment qu'envoyer des jeunes gens se faire sauter en plein cœur d'Israël ne décourage pas l'ennemi, ni ne libère la terre. Au contraire, cela intensifie l'agression ; après chaque opération de ce style, des civils sont tués, des habitations rasées, des villes et des villages palestiniens réoccupés. "
Qui leur a permis d'envoyer nos enfants à la mort ? " Après quoi, les chefs et les porte-parole font des apparitions médiatiques pour menacer l'ennemi d'une vengeance plus terrible encore... Et ils exhortent d'autres jeunes gens à mourir.
Je demande, en mon nom et au nom de tous les pères et mères qui ont appris que leurs fils s'étaient fait sauter : de quel droit ces chefs envoient-ils les jeunes, y compris des garçons dans leur prime jeunesse, à la mort ? Qui leur a accordé une quelconque légitimité, religieuse ou autre, leur permettant d'inciter nos enfants à mourir ? "
La mort, non le martyr " Oui, j'appelle cela 'la mort', et non 'le martyr'. Modifier et embellir le terme, ou accorder quelques milliers de dollars à la famille du jeune homme qui s'en est allé pour ne jamais revenir, n'atténue pas la force du coup, ni n'altère une fin irrévocable. L'argent accordé aux familles fait plus de mal que de bien : il leur donne le sentiment qu'on les récompense [d'avoir perdu] leurs enfants.
La vie des enfants a-t-elle un prix ? La mort est-elle devenue l'unique moyen de recouvrer ses droits et libérer la terre ? Si la réponse est 'oui', pourquoi pas un seul de tous ces cheiks, qui rivalisent en décrets religieux enflammés, n'envoie-t-il son fils ? Pourquoi aucun de ces chefs, lesquels ne peuvent s'empêcher de manifester leur euphorie et d'entrer en extase sur les chaînes satellite à chaque fois qu'un jeune Palestinien, homme ou femme, part se faire sauter, n'envoie-t-il pas son propre fils ? Pourquoi, jusqu'à ce jour, pas un seul de leurs fils ou filles… ne s'est-il ceinturé d'explosifs pour aller mettre en pratique… l'enseignement que leurs pères prêchent du matin au soir ?
Le Djihad, le martyre, la mort inutile sont-ils le domaine réservé d'un seul secteur [de population] ? Est-ce que ce qui s'applique aux fils et aux filles du commun des mortels ne s'applique pas aussi aux fils et filles [des leaders] ? Encore combien de temps ce peuple résistant devra-t-il payer le prix de cette politique stupide qui s'est avérée être un échec colossal en ce qu'elle n'a pas même permis de retrouver une infime partie des droits palestiniens usurpés ? "
Sitôt l'Intifada déclarée, les chefs ont envoyé leurs fils à l'étranger " Mais ce qui, plus que tout, déchire l'âme, blesse le cœur et embue les yeux de larmes, c'est la vue de ces cheiks et chefs qui font ce qu'il faut pour épargner leurs fils - comme Mahmoud Al-Zahar, Ismaïl Abou Shanab, et Zabd El-Aziz Al-Rantisi. Sitôt l'Intifada déclarée, Al-Zahar a envoyé son fils Khaled en Amérique ; Abou Shanab a envoyé le sien en Grande-Bretagne, et [comme elle le révèle dans la presse], la femme de Rantisi n'a pas voulu encourager son fils Mohammed à aller se faire sauter. Au lieu de quoi, elle l'a envoyé terminer ses études en Irak. "
[1] Al-Hayat (Londres), le 1er octobre 2002
[2] Le Coran, 2 : 195
Il convient de garder en mémoire ces propos de Mgr Christodoulos en 2007, au cours d'un séminaire du clergé orthodoxe consacré à la "connaissance de l'islam » :
"Ceux qui suivent les ordres de l'Evangile ne maltraitent pas leurs semblables, alors que les musulmans oppriment et exterminent en invoquant le Coran, en invoquant la charia".
"Cela arrive car dans l'islam il n'y a pas de distinction entre le royaume de César et le royaume de Dieu, entre l'Etat et la religion".
Mgr Christodoulos a également déploré que le dialogue entre les deux religions n'empêche pas la poursuite des "persécutions" de chrétiens dans les pays islamiques, alors qu'il a conduit "à une sérieuse amélioration des conditions de vie des musulmans en Europe". Il a toutefois plaidé pour la poursuite de ce dialogue au nom de la "recherche de la paix et de la solidarité envers des millions de victimes innocentes de la guerre, de l'esclavage, de la pauvreté et des maladies".
II
La prédication de Mahomet constitue-t-elle l’expression d’une religion, de plus fort d’une religion révélée par Dieu ?
Il convient préalablement de contester et sourire de la prétendue annonce de la venue de Mahomet dans le Nouveau Testament à et de plus fort dans les Evangiles : quel orgueil de considérer un homme comme étant ou représentant l’Esprit Saint ! Le Prince de ce monde lui-même n’a pas cherché cette confusion, lorsqu’il convient de souligner en revanche, l’apparente humilité commune et au Prince de ce monde qui ne décline pas son titre lors des tentatives de tentation au Désert mais que lui reconnaît Jésus+Christ en ne contestant pas que tous les royaumes de ce monde (provisoirement) sont sous sa domination [Mat ; IV, 8-11] et à Mahomet qui se présente comme un prophète qui aurait été annoncé les Ecritures après la venue de Jésus+Christ, lorsqu’il est annoncé par le Sauveur : « Lorsque viendra le Paraclet que je vous enverrai d'auprès du Père, l'Esprit de vérité qui procède du Père, il rendra lui-même témoignage de moi” [Jean XV, 27].
De première part, Mahomet n’est pas l’Esprit Saint, de seconde part Mahomet n’a pas rendu témoignage de la Résurrection, et pour cause…
III
Ce rappel des prétentions du Prince de ce monde et de ses serviteurs, n’est pas sans importance, tenter de retarder par tous moyens le Jour de Dieu constitue une satisfaction provisoire, et dans ce sens ne revient-il pas aux besogneux de ce lui qui s’oppose au Salut obtenu par la Résurrection, par tous moyens de tenter de détruire les témoins de la Grâce, de la victoire sur la mort conséquence du péché adamique, aussi le refus de reconnaître le salut opéré par Jésus+Christ s’accomplit sous la forme d’une prédication qui ne peut exprimer un Dieu d’Amour sauvant tous les hommes [Jean XVII, 9], mais un dieu humain, trop humain, national et politique, comme le montrent ces vidéos.
Guerre contre les Chrétiens, contre Rome, mais la malignité de ces serviteurs d’un mauvais combat, engage ses responsables à ne pas conduire aux martyre leurs propres fils (1)Deux vidéos et un article :
Iraniens http://www.youtube.com/v/XHoVuFlrcjA?fs=1&hl=en_US
Palestiniens http://www.youtube.com/v/QWxQS81gXeI?fs=1&hl=en_US
(1) MEMRI : 8 octobre 2002, N° 426 :
Le père de l'auteur d'un attentat suicide: Que les chefs du Hamas et du Djihad islamique envoient donc leurs propres fils!
Dans une lettre au directeur du quotidien arabe Al-Hayat, édité à Londres, [1] Abou Saber, père d'un jeune Palestinien responsable d'un attentat-suicide dans une ville israélienne, écrit :
" Je ne peux trouver de meilleurs termes pour commencer ma lettre que ceux d'Allah, dans son précieux livre [le Coran] : 'Agissez pour Allah, et que vos propres mains ne vous projettent pas dans la destruction'. [2] Je rédige cette lettre avec un cœur qui dépérit et des yeux qui ne cessent de verser des larmes. Nous devons, aujourd'hui plus que jamais, obéir à ce verset coranique, agir pour Allah et éviter de commettre des actes qui nous poussent à la destruction. "
Des amis ont persuadé mon fils de se faire sauter, et maintenant ils s'en prennent à son frère " Il y a quatre mois, j'ai perdu mon fis aîné, après que ses amis l'eurent tenté de suivre le chemin de la mort. Ils l'ont persuadé de se faire sauter dans une ville israélienne. Quand le corps pur de mon fils s'est éparpillé en morceaux, les derniers signes de vie se sont aussi éteints en moi, en même temps que tout espoir et toute volonté d'exister. Depuis ce jour, je suis comme un spectre déambulant, et je ne parle même pas du déplacement que moi, ma femme, mes autres fils et filles avons subi après que notre domicile eut été rasé.
Mais le comble a été d'apprendre que les amis de mon fils aîné, le martyr, ont entrepris de se draper comme des serpents pour entourer mon autre fils, qui n'a pas 17 ans, et l'inciter à suivre le même chemin que son frère, à exploser pour venger ce dernier, lui expliquant qu'il n'a 'rien a perdre'.
Du sang de mon cœur blessé de père qui a perdu ce qu'il avait de plus cher au monde, j'interpelle les dirigeants des factions palestiniennes, et à leur tête les chefs du Hamas, du Djihad islamique et leurs cheiks, qui se servent des préceptes religieux pour pousser un nombre toujours croissant de fils de la Palestine à la mort - tout en sachant pertinemment qu'envoyer des jeunes gens se faire sauter en plein cœur d'Israël ne décourage pas l'ennemi, ni ne libère la terre. Au contraire, cela intensifie l'agression ; après chaque opération de ce style, des civils sont tués, des habitations rasées, des villes et des villages palestiniens réoccupés. "
Qui leur a permis d'envoyer nos enfants à la mort ? " Après quoi, les chefs et les porte-parole font des apparitions médiatiques pour menacer l'ennemi d'une vengeance plus terrible encore... Et ils exhortent d'autres jeunes gens à mourir.
Je demande, en mon nom et au nom de tous les pères et mères qui ont appris que leurs fils s'étaient fait sauter : de quel droit ces chefs envoient-ils les jeunes, y compris des garçons dans leur prime jeunesse, à la mort ? Qui leur a accordé une quelconque légitimité, religieuse ou autre, leur permettant d'inciter nos enfants à mourir ? "
La mort, non le martyr " Oui, j'appelle cela 'la mort', et non 'le martyr'. Modifier et embellir le terme, ou accorder quelques milliers de dollars à la famille du jeune homme qui s'en est allé pour ne jamais revenir, n'atténue pas la force du coup, ni n'altère une fin irrévocable. L'argent accordé aux familles fait plus de mal que de bien : il leur donne le sentiment qu'on les récompense [d'avoir perdu] leurs enfants.
La vie des enfants a-t-elle un prix ? La mort est-elle devenue l'unique moyen de recouvrer ses droits et libérer la terre ? Si la réponse est 'oui', pourquoi pas un seul de tous ces cheiks, qui rivalisent en décrets religieux enflammés, n'envoie-t-il son fils ? Pourquoi aucun de ces chefs, lesquels ne peuvent s'empêcher de manifester leur euphorie et d'entrer en extase sur les chaînes satellite à chaque fois qu'un jeune Palestinien, homme ou femme, part se faire sauter, n'envoie-t-il pas son propre fils ? Pourquoi, jusqu'à ce jour, pas un seul de leurs fils ou filles… ne s'est-il ceinturé d'explosifs pour aller mettre en pratique… l'enseignement que leurs pères prêchent du matin au soir ?
Le Djihad, le martyre, la mort inutile sont-ils le domaine réservé d'un seul secteur [de population] ? Est-ce que ce qui s'applique aux fils et aux filles du commun des mortels ne s'applique pas aussi aux fils et filles [des leaders] ? Encore combien de temps ce peuple résistant devra-t-il payer le prix de cette politique stupide qui s'est avérée être un échec colossal en ce qu'elle n'a pas même permis de retrouver une infime partie des droits palestiniens usurpés ? "
Sitôt l'Intifada déclarée, les chefs ont envoyé leurs fils à l'étranger " Mais ce qui, plus que tout, déchire l'âme, blesse le cœur et embue les yeux de larmes, c'est la vue de ces cheiks et chefs qui font ce qu'il faut pour épargner leurs fils - comme Mahmoud Al-Zahar, Ismaïl Abou Shanab, et Zabd El-Aziz Al-Rantisi. Sitôt l'Intifada déclarée, Al-Zahar a envoyé son fils Khaled en Amérique ; Abou Shanab a envoyé le sien en Grande-Bretagne, et [comme elle le révèle dans la presse], la femme de Rantisi n'a pas voulu encourager son fils Mohammed à aller se faire sauter. Au lieu de quoi, elle l'a envoyé terminer ses études en Irak. "
[1] Al-Hayat (Londres), le 1er octobre 2002
[2] Le Coran, 2 : 195
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