novembre 13, 2010

Abba, dis-moi une parole !


Abba, dis-moi une parole !

Un frère demanda à abba Poemen : 
« Si je vois une faute de mon frère,
est-il bien de la cacher ? »
L’ancien lui dit :
« À l’heure même où nous cachons la faute de notre frère,
Dieu cache la nôtre ;
et à l’heure où nous manifestons la faute du frère,
Dieu manifeste aussi la nôtre. »

novembre 11, 2010

L’ONU soutien de la pensée Islamique comme modèle de société pour le monde ?


L’ONU est  entièrement pervertie par les pays musulmans qui réussissent à détourner, organe après organe, des buts pour lesquelles ils sont créés. Ainsi, l’Arabie Saoudite est maintenant en charge de la défense des droits de la femme. On peut s’attendre au pire….c’est un peu si Comte Dracula obtenait les clefs de la Banque du sang.

L’Arabie Saoudite a obtenu l’un des 41 sièges au conseil exécutif de “l’Onu-femmes”. Cette toute nouvelle agence de l’ONU dédiée à la défense des droits des femmes et à la promotion de l’égalité des sexes, débutera ses travaux en janvier 2011.   
L’Arabie Saoudite était assurée d’obtenir l’un des deux sièges réservés aux nouveaux États donateurs de cet organe consacré à la défense du droit des femmes dans le monde.  ”L’Arabie saoudite a carrément acheté son siège à l’ONU-Femmes”, résume Marianne Mollmann, responsable des droits des femmes à Human Rights Watch. Et il n’y avait rien à faire pour l’en empêcher.
Rappelons qu’en Arabie Saoudite, sans la présence d’un tuteur  mâle (ou gardien), la femme ne peut étudier, accéder à des services de santé, se marier, voyager, avoir une entreprise, pratiquer de nombreux métiers ou simplement accéder à une ambulance dans une situation d’urgence, les victimes de viol sont souvent condamnées par la justice à la prison et à des coups de fouet, la polygamie est autorisée, les petites filles sont mariées à des hommes mûrs, les hommes reçoivent le double des femmes lors du partage d’un héritage, un mari a le droit de battre ou violer sa femme …
Le Pakistan siègera aussi au conseil, en revanche, l’Iran a été éliminé. Onze pays asiatiques étaient candidats pour dix sièges au conseil, avec la candidature de dernière minute du Timor-Oriental aidé par les Etats-Unis et le Canada pour barrer la route à l’Iran.
L’Iran est donc le seul pays à avoir été écarté pour ce groupe Asie. 
“Il est moralement pervers de récompenser un pays qui fouette les victimes de viol, et qui subjugue systématiquement les femmes dans tous les domaines de la vie, en lui donnant le pouvoir d’influer négativement sur la protection globale des droits des femmes”, a déclaré Hillel Neuer, directeur de l’Organisation UN-Watch qui a organisé une campagne sur internet à travers le monde pour tenter de mobiliser l’opinion publique contre la candidature de l’Iran et l’Arabie saoudite.

Appel à des évêques d'Irak «à nos frères de France»


Appel à des évêques d'Irak «à nos frères de France»

 
Notre Calvaire est lourd et il nous paraît long. Le carnage qui a eu lieu à la cathédrale Notre-Dame du Perpétuel-Secours de Bagdad, avec 58 morts, parmi lesquels deux jeunes prêtres et 67 blessés dont un prêtre, nous a profondément secoués. Nous perdons la patience, mais nous ne perdons pas la foi et l'espérance. Cet événement d'une telle ampleur qui se produit juste après la tenue du Synode nous choque encore plus. Ce dont nous avons besoin c'est de votre prière et de votre soutien fraternel et moral. Votre amitié nous encourage à rester sur notre terre, à persévérer et à espérer.

Sans cela nous nous sentons seuls et isolés.

Nous avons besoin de votre compassion face à tout ce qui vient toucher la vie des innocents, chrétiens et musulmans. Restez avec nous, restez avec nous jusqu'à ce que soit passé le fléau.

Que le Seigneur nous protège tous.

Le 2 novembre 2010

Mgr Athanase Matti MATOKA, archevêque de Bagdad des syriens
Mgr Louis SAKO, archevêque de Kirkouk des chaldéens
Mgr Emil NONA, archevêque de Mossoul des chaldéens
Mgr Basile Geoges CASMOUSSA, archevêque de Mossoul des syriens
Mgr Bashar WARDA, archevêque d'Erbil des chaldéens

novembre 10, 2010

Comment pouvons-nous aider nos Frères dans la Foi résidant en Irak ?


Comment pouvons-nous aider nos Frères dans la Foi résidant en Irak ?







L’AMERIQUE PORTERA LA RESPONSABILITE DE LA MORT DES CHRETIENS IRAKIENS

Il ne s’agit pas de faire de la politique, mais de procéder à un constat. L’ingérence sous de mauvais prétextes des USA en Irak sera-t-elle un jour jugée ? Les conséquences de cette guerre voulue pour des motifs bien autres à savoir la captation des richesses d’un autre pays, amenant tel Pilate, cet ancien Président et son peuple à se laver les mains du sort des chrétiens et de ce qui fut par eux généré, doit nous interpeller.

Si «la bonne foi » n’est pas à rechercher présentement dans ces années d’ingérence, de guerre et les conséquences qi en résultent, si en revanche la bonne foi avait été une explication à l’origine de ce qui serait qualifié alors d’erreur, il est évident que ce pays aurait cherché à réparer, mais l’adage est là plus que jamais criant de vérité : errare humanum est, perseverare diabolicum : Le diable est bien dans la cité.


Irak: nouveaux attentats meurtriers contre les chrétiens à Bagdad
BAGDAD — Une nouvelle série d'attaques meurtrières a visé ces dernières 24 heures la communauté chrétienne à Bagdad, suscitant la panique des fidèles dont la majorité ne pense plus qu'à fuir le pays.
Dix jours seulement après le carnage dans une église de Bagdad, l'archevêque syriaque catholique Athanase Matti Shaba Matoka, jugeant "tragique" la situation des chrétiens en Irak, a estimé mercredi qu'il "serait criminel de la part de la communauté internationale de ne pas s'occuper de leur sécurité".
Le Conseil de sécurité de l'ONU a condamné les violences antichrétiennes "dans les termes les plus fermes", selon son président en exercice, l'ambassadeur britannique à l'ONU Mark Lyall Grant, qui a renouvelé "son engagement pour la sécurité en Irak".
A Rome, le numéro deux du Vatican, le cardinal Tarcisio Bertone, a demandé à Bagdad de "prendre en sérieuse considération" le problème de la défense des chrétiens.
"Depuis mardi soir, il y a eu 13 bombes et deux obus de mortier contre des maisons et des magasins appartenant à des chrétiens, qui ont fait au total six tués et 33 blessés", a indiqué une source au ministère de la Défense, en faisant également état d'une église endommagée.
Mardi soir, trois maisons appartenant à des chrétiens dans le quartier de Mansour, dans l'ouest de la capitale irakienne, ont été la cible d'attentats, qui ont fait trois blessés, dont un enfant de quatre mois.
Le 31 octobre, 44 fidèles et deux prêtres ont péri dans le raid commis en pleine messe par un commando d'Al-Qaïda dans la cathédrale Notre-Dame du Perpétuel secours dans le quartier de Karrada dans le centre de Bagdad.
C'est vers ce même édifice, qui porte toujours les stigmates du carnage, qu'ont convergé des familles paniquées.
"Cela fait deux ans que ma femme tente de me persuader de quitter le pays mais je n'étais pas d'accord. Aujourd'hui, je suis convaincu qu'elle a raison car je ne veux pas me sentir coupable s'il arrivait malheur à un de mes enfants", a affirmé Raëd Wissam, un ouvrier de 42 ans.
Il dormait à son domicile du quartier de Dora (sud) quand une puissante explosion l'a tiré de son sommeil tôt le matin. "J'ai couru sur le toit voir ce qui se passait et j'ai entendu trois autres explosions. Trois maisons de chrétiens venaient d'être visées. Mes deux enfants criaient".
Emmanuel Karim, un informaticien de 27 ans, se préparait lui à partir au travail à Bagdad quand une bombe a explosé visant la voiture de son oncle, tué pourtant le 31 octobre dans l'attaque de l'église.
"Un quart d'heure plus tard, une seconde bombe a explosé, tuant un voisin qui essayait d'éteindre l'incendie de la voiture. Il était musulman, il était mon ami", a ajouté le jeune homme, décidé à quitter l'Irak.
"On ne sait pas quel but poursuivent ces criminels mais ce qui est certain c'est que cela va pousser encore plus de chrétiens à émigrer", a déclaré le vicaire épiscopal syriaque catholique Mgr Pios Kasha.
Selon le père Saad Sirap Hanna, prêtre de l'Eglise chaldéenne Saint-Joseph, à Karrada, de nombreux fidèles viennent le voir pour lui demander conseil.
Le 3 novembre, la branche irakienne d'Al-Qaïda avait annoncé que d'autres attaques viseraient les chrétiens, après l'expiration de son ultimatum à l'église copte d'Egypte pour libérer deux chrétiennes présentées comme "emprisonnées dans des monastères" pour s'être converties à l'islam.
La communauté chrétienne de Bagdad, qui comptait 450.000 fidèles en 2003 n'en dénombre plus que 150.000, en raison d'un exode massif vers les pays voisins, l'Europe, l'Amérique du nord et l'Australie.

 

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·                                 IRAK - Les chrétiens de Bagdad de nouveau visés par des attentats 
Le Point - Il y a 11 heures
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novembre 08, 2010

Dieu qui est Amour n’est pas celui de l’Islam


Dieu qui est Amour n’est pas celui de l’Islam

I
Il convient de garder en mémoire ces propos de Mgr Christodoulos en 2007, au cours d'un séminaire du clergé orthodoxe consacré à la "connaissance de l'islam » :
"Ceux qui suivent les ordres de l'Evangile ne maltraitent pas leurs semblables, alors que les musulmans oppriment et exterminent en invoquant le Coran, en invoquant la charia".
"Cela arrive car dans l'islam il n'y a pas de distinction entre le royaume de César et le royaume de Dieu, entre l'Etat et la religion".
Mgr Christodoulos a également déploré que le dialogue entre les deux religions n'empêche pas la poursuite des "persécutions" de chrétiens dans les pays islamiques, alors qu'il a conduit "à une sérieuse amélioration des conditions de vie des musulmans en Europe". Il a toutefois plaidé pour la poursuite de ce dialogue au nom de la "recherche de la paix et de la solidarité envers des millions de victimes innocentes de la guerre, de l'esclavage, de la pauvreté et des maladies".
II
La prédication de Mahomet constitue-t-elle l’expression d’une religion, de plus fort d’une religion révélée par Dieu ?
Il convient préalablement de contester et sourire de la prétendue annonce de la venue de Mahomet dans le Nouveau Testament à et de plus fort dans les Evangiles : quel orgueil de considérer un homme comme étant ou représentant l’Esprit Saint ! Le Prince de ce monde lui-même n’a pas cherché cette confusion, lorsqu’il convient de souligner en revanche, l’apparente humilité commune et au Prince de ce monde qui ne décline pas son titre lors des tentatives de tentation au Désert mais que lui reconnaît Jésus+Christ en ne contestant pas que tous les royaumes de ce monde (provisoirement) sont sous sa domination [Mat ; IV, 8-11] et à Mahomet qui se présente comme un prophète  qui aurait été annoncé les Ecritures après la venue de Jésus+Christ, lorsqu’il est annoncé par le Sauveur : « Lorsque viendra le Paraclet que je vous enverrai d'auprès du Père, l'Esprit de vérité qui procède du Père, il rendra lui-même témoignage de moi” [Jean XV, 27].
De première part, Mahomet n’est pas l’Esprit Saint, de seconde part Mahomet n’a pas rendu témoignage de la Résurrection, et pour cause…
III
Ce rappel des prétentions du Prince de ce monde et de ses serviteurs, n’est pas sans importance, tenter de retarder par tous moyens le Jour de Dieu constitue une satisfaction provisoire, et dans ce sens ne revient-il pas aux besogneux de ce lui qui s’oppose au Salut obtenu par la Résurrection, par tous moyens de tenter de détruire les témoins de la Grâce, de la victoire sur la mort conséquence du péché adamique, aussi le refus de reconnaître le salut opéré par Jésus+Christ s’accomplit sous la forme d’une prédication qui ne peut exprimer un Dieu d’Amour sauvant tous les hommes [Jean XVII, 9], mais un dieu  humain, trop humain, national et politique, comme le montrent ces vidéos.
Guerre contre les Chrétiens, contre Rome, mais la malignité de ces serviteurs d’un mauvais combat, engage ses responsables à ne pas conduire aux martyre leurs propres fils (1)
Deux vidéos et un article :
(1) MEMRI : 8 octobre 2002, N°  426 :


Le père de l'auteur d'un attentat suicide: Que les chefs du Hamas et du Djihad islamique envoient donc leurs propres fils!
Dans une lettre au directeur du quotidien arabe Al-Hayat, édité à Londres, [1] Abou Saber, père d'un jeune Palestinien responsable d'un attentat-suicide dans une ville israélienne, écrit :
" Je ne peux trouver de meilleurs termes pour commencer ma lettre que ceux d'Allah, dans son précieux livre [le Coran] : 'Agissez pour Allah, et que vos propres mains ne vous projettent pas dans la destruction'. [2] Je rédige cette lettre avec un cœur qui dépérit et des yeux qui ne cessent de verser des larmes. Nous devons, aujourd'hui plus que jamais, obéir à ce verset coranique, agir pour Allah et éviter de commettre des actes qui nous poussent à la destruction. "
Des amis ont persuadé mon fils de se faire sauter, et maintenant ils s'en prennent à son frère
" Il y a quatre mois, j'ai perdu mon fis aîné, après que ses amis l'eurent tenté de suivre le chemin de la mort. Ils l'ont persuadé de se faire sauter dans une ville israélienne. Quand le corps pur de mon fils s'est éparpillé en morceaux, les derniers signes de vie se sont aussi éteints en moi, en même temps que tout espoir et toute volonté d'exister. Depuis ce jour, je suis comme un spectre déambulant, et je ne parle même pas du déplacement que moi, ma femme, mes autres fils et filles avons subi après que notre domicile eut été rasé.

Mais le comble a été d'apprendre que les amis de mon fils aîné, le martyr, ont entrepris de se draper comme des serpents pour entourer mon autre fils, qui n'a pas 17 ans, et l'inciter à suivre le même chemin que son frère, à exploser pour venger ce dernier, lui expliquant qu'il n'a 'rien a perdre'.
Du sang de mon cœur blessé de père qui a perdu ce qu'il avait de plus cher au monde, j'interpelle les dirigeants des factions palestiniennes, et à leur tête les chefs du Hamas, du Djihad islamique et leurs cheiks, qui se servent des préceptes religieux pour pousser un nombre toujours croissant de fils de la Palestine à la mort - tout en sachant pertinemment qu'envoyer des jeunes gens se faire sauter en plein cœur d'Israël ne décourage pas l'ennemi, ni ne libère la terre. Au contraire, cela intensifie l'agression ; après chaque opération de ce style, des civils sont tués, des habitations rasées, des villes et des villages palestiniens réoccupés. "
Qui leur a permis d'envoyer nos enfants à la mort ?
" Après quoi, les chefs et les porte-parole font des apparitions médiatiques pour menacer l'ennemi d'une vengeance plus terrible encore... Et ils exhortent d'autres jeunes gens à mourir.

Je demande, en mon nom et au nom de tous les pères et mères qui ont appris que leurs fils s'étaient fait sauter : de quel droit ces chefs envoient-ils les jeunes, y compris des garçons dans leur prime jeunesse, à la mort ? Qui leur a accordé une quelconque légitimité, religieuse ou autre, leur permettant d'inciter nos enfants à mourir ? "
La mort, non le martyr
" Oui, j'appelle cela 'la mort', et non 'le martyr'. Modifier et embellir le terme, ou accorder quelques milliers de dollars à la famille du jeune homme qui s'en est allé pour ne jamais revenir, n'atténue pas la force du coup, ni n'altère une fin irrévocable. L'argent accordé aux familles fait plus de mal que de bien : il leur donne le sentiment qu'on les récompense [d'avoir perdu] leurs enfants.

La vie des enfants a-t-elle un prix ? La mort est-elle devenue l'unique moyen de recouvrer ses droits et libérer la terre ? Si la réponse est 'oui', pourquoi pas un seul de tous ces cheiks, qui rivalisent en décrets religieux enflammés, n'envoie-t-il son fils ? Pourquoi aucun de ces chefs, lesquels ne peuvent s'empêcher de manifester leur euphorie et d'entrer en extase sur les chaînes satellite à chaque fois qu'un jeune Palestinien, homme ou femme, part se faire sauter, n'envoie-t-il pas son propre fils ? Pourquoi, jusqu'à ce jour, pas un seul de leurs fils ou filles… ne s'est-il ceinturé d'explosifs pour aller mettre en pratique… l'enseignement que leurs pères prêchent du matin au soir ?
Le Djihad, le martyre, la mort inutile sont-ils le domaine réservé d'un seul secteur [de population] ? Est-ce que ce qui s'applique aux fils et aux filles du commun des mortels ne s'applique pas aussi aux fils et filles [des leaders] ? Encore combien de temps ce peuple résistant devra-t-il payer le prix de cette politique stupide qui s'est avérée être un échec colossal en ce qu'elle n'a pas même permis de retrouver une infime partie des droits palestiniens usurpés ? "
Sitôt l'Intifada déclarée, les chefs ont envoyé leurs fils à l'étranger
" Mais ce qui, plus que tout, déchire l'âme, blesse le cœur et embue les yeux de larmes, c'est la vue de ces cheiks et chefs qui font ce qu'il faut pour épargner leurs fils - comme Mahmoud Al-Zahar, Ismaïl Abou Shanab, et Zabd El-Aziz Al-Rantisi. Sitôt l'Intifada déclarée, Al-Zahar a envoyé son fils Khaled en Amérique ; Abou Shanab a envoyé le sien en Grande-Bretagne, et [comme elle le révèle dans la presse], la femme de Rantisi n'a pas voulu encourager son fils Mohammed à aller se faire sauter. Au lieu de quoi, elle l'a envoyé terminer ses études en Irak. "

[1] Al-Hayat (Londres), le 1er octobre 2002
[2] Le Coran, 2 : 195