novembre 08, 2010

Dieu qui est Amour n’est pas celui de l’Islam


Dieu qui est Amour n’est pas celui de l’Islam

I
Il convient de garder en mémoire ces propos de Mgr Christodoulos en 2007, au cours d'un séminaire du clergé orthodoxe consacré à la "connaissance de l'islam » :
"Ceux qui suivent les ordres de l'Evangile ne maltraitent pas leurs semblables, alors que les musulmans oppriment et exterminent en invoquant le Coran, en invoquant la charia".
"Cela arrive car dans l'islam il n'y a pas de distinction entre le royaume de César et le royaume de Dieu, entre l'Etat et la religion".
Mgr Christodoulos a également déploré que le dialogue entre les deux religions n'empêche pas la poursuite des "persécutions" de chrétiens dans les pays islamiques, alors qu'il a conduit "à une sérieuse amélioration des conditions de vie des musulmans en Europe". Il a toutefois plaidé pour la poursuite de ce dialogue au nom de la "recherche de la paix et de la solidarité envers des millions de victimes innocentes de la guerre, de l'esclavage, de la pauvreté et des maladies".
II
La prédication de Mahomet constitue-t-elle l’expression d’une religion, de plus fort d’une religion révélée par Dieu ?
Il convient préalablement de contester et sourire de la prétendue annonce de la venue de Mahomet dans le Nouveau Testament à et de plus fort dans les Evangiles : quel orgueil de considérer un homme comme étant ou représentant l’Esprit Saint ! Le Prince de ce monde lui-même n’a pas cherché cette confusion, lorsqu’il convient de souligner en revanche, l’apparente humilité commune et au Prince de ce monde qui ne décline pas son titre lors des tentatives de tentation au Désert mais que lui reconnaît Jésus+Christ en ne contestant pas que tous les royaumes de ce monde (provisoirement) sont sous sa domination [Mat ; IV, 8-11] et à Mahomet qui se présente comme un prophète  qui aurait été annoncé les Ecritures après la venue de Jésus+Christ, lorsqu’il est annoncé par le Sauveur : « Lorsque viendra le Paraclet que je vous enverrai d'auprès du Père, l'Esprit de vérité qui procède du Père, il rendra lui-même témoignage de moi” [Jean XV, 27].
De première part, Mahomet n’est pas l’Esprit Saint, de seconde part Mahomet n’a pas rendu témoignage de la Résurrection, et pour cause…
III
Ce rappel des prétentions du Prince de ce monde et de ses serviteurs, n’est pas sans importance, tenter de retarder par tous moyens le Jour de Dieu constitue une satisfaction provisoire, et dans ce sens ne revient-il pas aux besogneux de ce lui qui s’oppose au Salut obtenu par la Résurrection, par tous moyens de tenter de détruire les témoins de la Grâce, de la victoire sur la mort conséquence du péché adamique, aussi le refus de reconnaître le salut opéré par Jésus+Christ s’accomplit sous la forme d’une prédication qui ne peut exprimer un Dieu d’Amour sauvant tous les hommes [Jean XVII, 9], mais un dieu  humain, trop humain, national et politique, comme le montrent ces vidéos.
Guerre contre les Chrétiens, contre Rome, mais la malignité de ces serviteurs d’un mauvais combat, engage ses responsables à ne pas conduire aux martyre leurs propres fils (1)
Deux vidéos et un article :
(1) MEMRI : 8 octobre 2002, N°  426 :


Le père de l'auteur d'un attentat suicide: Que les chefs du Hamas et du Djihad islamique envoient donc leurs propres fils!
Dans une lettre au directeur du quotidien arabe Al-Hayat, édité à Londres, [1] Abou Saber, père d'un jeune Palestinien responsable d'un attentat-suicide dans une ville israélienne, écrit :
" Je ne peux trouver de meilleurs termes pour commencer ma lettre que ceux d'Allah, dans son précieux livre [le Coran] : 'Agissez pour Allah, et que vos propres mains ne vous projettent pas dans la destruction'. [2] Je rédige cette lettre avec un cœur qui dépérit et des yeux qui ne cessent de verser des larmes. Nous devons, aujourd'hui plus que jamais, obéir à ce verset coranique, agir pour Allah et éviter de commettre des actes qui nous poussent à la destruction. "
Des amis ont persuadé mon fils de se faire sauter, et maintenant ils s'en prennent à son frère
" Il y a quatre mois, j'ai perdu mon fis aîné, après que ses amis l'eurent tenté de suivre le chemin de la mort. Ils l'ont persuadé de se faire sauter dans une ville israélienne. Quand le corps pur de mon fils s'est éparpillé en morceaux, les derniers signes de vie se sont aussi éteints en moi, en même temps que tout espoir et toute volonté d'exister. Depuis ce jour, je suis comme un spectre déambulant, et je ne parle même pas du déplacement que moi, ma femme, mes autres fils et filles avons subi après que notre domicile eut été rasé.

Mais le comble a été d'apprendre que les amis de mon fils aîné, le martyr, ont entrepris de se draper comme des serpents pour entourer mon autre fils, qui n'a pas 17 ans, et l'inciter à suivre le même chemin que son frère, à exploser pour venger ce dernier, lui expliquant qu'il n'a 'rien a perdre'.
Du sang de mon cœur blessé de père qui a perdu ce qu'il avait de plus cher au monde, j'interpelle les dirigeants des factions palestiniennes, et à leur tête les chefs du Hamas, du Djihad islamique et leurs cheiks, qui se servent des préceptes religieux pour pousser un nombre toujours croissant de fils de la Palestine à la mort - tout en sachant pertinemment qu'envoyer des jeunes gens se faire sauter en plein cœur d'Israël ne décourage pas l'ennemi, ni ne libère la terre. Au contraire, cela intensifie l'agression ; après chaque opération de ce style, des civils sont tués, des habitations rasées, des villes et des villages palestiniens réoccupés. "
Qui leur a permis d'envoyer nos enfants à la mort ?
" Après quoi, les chefs et les porte-parole font des apparitions médiatiques pour menacer l'ennemi d'une vengeance plus terrible encore... Et ils exhortent d'autres jeunes gens à mourir.

Je demande, en mon nom et au nom de tous les pères et mères qui ont appris que leurs fils s'étaient fait sauter : de quel droit ces chefs envoient-ils les jeunes, y compris des garçons dans leur prime jeunesse, à la mort ? Qui leur a accordé une quelconque légitimité, religieuse ou autre, leur permettant d'inciter nos enfants à mourir ? "
La mort, non le martyr
" Oui, j'appelle cela 'la mort', et non 'le martyr'. Modifier et embellir le terme, ou accorder quelques milliers de dollars à la famille du jeune homme qui s'en est allé pour ne jamais revenir, n'atténue pas la force du coup, ni n'altère une fin irrévocable. L'argent accordé aux familles fait plus de mal que de bien : il leur donne le sentiment qu'on les récompense [d'avoir perdu] leurs enfants.

La vie des enfants a-t-elle un prix ? La mort est-elle devenue l'unique moyen de recouvrer ses droits et libérer la terre ? Si la réponse est 'oui', pourquoi pas un seul de tous ces cheiks, qui rivalisent en décrets religieux enflammés, n'envoie-t-il son fils ? Pourquoi aucun de ces chefs, lesquels ne peuvent s'empêcher de manifester leur euphorie et d'entrer en extase sur les chaînes satellite à chaque fois qu'un jeune Palestinien, homme ou femme, part se faire sauter, n'envoie-t-il pas son propre fils ? Pourquoi, jusqu'à ce jour, pas un seul de leurs fils ou filles… ne s'est-il ceinturé d'explosifs pour aller mettre en pratique… l'enseignement que leurs pères prêchent du matin au soir ?
Le Djihad, le martyre, la mort inutile sont-ils le domaine réservé d'un seul secteur [de population] ? Est-ce que ce qui s'applique aux fils et aux filles du commun des mortels ne s'applique pas aussi aux fils et filles [des leaders] ? Encore combien de temps ce peuple résistant devra-t-il payer le prix de cette politique stupide qui s'est avérée être un échec colossal en ce qu'elle n'a pas même permis de retrouver une infime partie des droits palestiniens usurpés ? "
Sitôt l'Intifada déclarée, les chefs ont envoyé leurs fils à l'étranger
" Mais ce qui, plus que tout, déchire l'âme, blesse le cœur et embue les yeux de larmes, c'est la vue de ces cheiks et chefs qui font ce qu'il faut pour épargner leurs fils - comme Mahmoud Al-Zahar, Ismaïl Abou Shanab, et Zabd El-Aziz Al-Rantisi. Sitôt l'Intifada déclarée, Al-Zahar a envoyé son fils Khaled en Amérique ; Abou Shanab a envoyé le sien en Grande-Bretagne, et [comme elle le révèle dans la presse], la femme de Rantisi n'a pas voulu encourager son fils Mohammed à aller se faire sauter. Au lieu de quoi, elle l'a envoyé terminer ses études en Irak. "

[1] Al-Hayat (Londres), le 1er octobre 2002
[2] Le Coran, 2 : 195

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