A l’occasion
de la réaction d’Israël au Synode des Evêques de l’Eglise d’Orient
«Le Chrsit
est un réfugié Palestinien »
Emmanuel
LEVYNE
Judaïsme
contre sionisme
Préalablement,
il échet de prendre connaissance de ce lien
de l’Eglise Catholique en France :
Sans oublier
les buts de l’ŒUVRE D’ORIENT dont le site fut détruit et les archives de plusieurs
années perdues faute de sauvegarde informatiqe, suite à un méchante attaque d’oppsés
aux Chrétiens d’Orient :
Il appert que les Pères du Synode
ont demandé à ce qu’il soit mis fin à l'occupation
israélienne des "différents territoires arabes" concernés et affirmé
que l'Etat hébreu ne pouvait pas s'appuyer sur la Bible pour défendre une
politique de colonisation.
Ce sujet
est d’une extrême importance hors de toute question politique, sur le plan religieux.
La Jérusalem
à venir est-elle terrestre ou céleste ? Deux visions opposées de ce qie l’on
ommme des religions du Livre, il est vrai que l’une dépend de l’Ancienne Alliance
annonçant une terre promise entendue généralement comme terresrtre, par distinction
à la Nouvelle Alliance dont le Royaume n’est pas de ce monde…
Les Kabbalsites
coimme Emmanuel LEVYNE dont les œuvres ne sont pas rééditées (notamment Le Royaume
de Dieu et le Royaume de César, le Judaïsme contestataire, Judaîsme contre sionisme,
Lettre d’un Kabbaliste à un rabbin, etc.), donnait pour titre au premier chapitre
de l’un de ses livres : Le Chrsit est un réfugié Palestinien. …
La problématique posée est de savoir si selon la
mystique Juive, Israël est un Etat particulier, ou tout autre chose, déjà la Letre
d’un kabbabbaliste à un rabbin se trouve donnée par plusieurs sites sur Internet,
elle mérite lecture et méditation.
Je vous
livre la recension faite sur la réaction
d’Israël aux propos tenus par les Pères du Synode.
Interogeons-nous
sur le sens à donner à Jérusalem terrestre et Jérusalem céleste.
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Israël a dénoncé dimanche comme
des "attaques politiques" contre l'Etat hébreu le message du synode
pour le Moyen-Orient, réuni par le pape au Vatican, demandant qu'il soit mis
fin à l'occupation israélienne des "différents territoires arabes".
"Nous exprimons notre
déception devant le fait que cet important synode est devenu une tribune pour
des attaques politiques contre Israël dans la plus belle tradition de la
propagande arabe", a déclaré le vice-ministre des Affaires étrangères
Danny Ayalon dans un communiqué.
"Le synode a été pris en
otage par une majorité anti-israélienne", a-t-il ajouté.
Le synode pour le Moyen-Orient
a demandé samedi qu'il soit mis fin à l'occupation israélienne des
"différents territoires arabes" concernés et affirmé que l'Etat
hébreu ne pouvait pas s'appuyer sur la Bible pour défendre une politique de
colonisation.
"Les citoyens des pays du
Moyen-Orient interpellent la communauté internationale, en particulier l'ONU,
pour qu'elle travaille sincèrement à une solution de paix juste et définitive
dans la région" qui passe par la "fin de l'occupation des différents
territoires arabes" par Israël, ont déclaré les évêques, provenant en
majorité du Moyen-Orient, à l'issue de leurs deux semaines de travaux au
Vatican.
Israël ne peut pas s'appuyer
sur le terme de "Terre promise" figurant dans la Bible pour
"justifier le retour des juifs en Israël et l'expatriation des
Palestiniens", a affirmé l'archevêque grec-melkite de Newton (Etats-Unis)
Mgr Cyrille Salim Bustros, président de la commission pour le message de ce
synode, lors d'une conférence de presse.
M. Ayalon a dit qu'il était
"particulièrement scandalisé" par ces remarques.
"Nous appelons le Vatican
à se (distancier) des propos de l'archevêque Bustros, qui sont calomnieux à
l'encontre du peuple juif et l'Etat d'Israël et ne devraient pas être
interprétés comme la position officielle du Vatican".
La plupart des juifs religieux
considèrent que la terre d'Israël a été donnée aux juifs par Dieu, et les
colons juifs citent souvent la Bible pour maintenir leur emprise sur la
Cisjordanie et Jérusalem-Est, occupés depuis la guerre des Six Jours en 1967.
Mais le porte-parole du
ministère des Affaires étrangères, Yigal Palmor, a pour sa part déclaré à l'AFP
que les textes sacrés n'ont jamais été utilisés par les gouvernements
israéliens pour justifier l'occupation ou la colonisation d'un territoire.
Il a également souligné que la
population chrétienne d'Israël avait augmenté depuis la création de l'Etat
juif, alors que selon lui dans le reste de la région du Moyen-Orient, de
nombreux chrétiens ont fui la guerre, l'instalibilité et les problèmes
économiques.
De leur côté, les Palestiniens
ont salué les appels du synode, le principal négociateur palestinien Saëb
Erakat, appelant dans un communiqué la "communauté internationale à
exercer sa responsabilité morale pour accélérer la fin de l'occupation
israélienne illégale" des territoires palestiniens.
Les communautés chrétiennes
sont "parties intégrantes du peuple palestinien", a encore souligné
le négociateur palestinien, attribuant à Israël la responsabilité de leur
départ de Terre sainte
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