HOMÉLIE - L’Argent pourrit

Deux regrets dans cette, toutefois, belle homélie.

Juger Judas comme un traître, oblige à nous juger être tous des traîtres, lui, l’Apôtre qui synthétise et représente notre condition, lorsque l’on oublie que sans Judas, il n’y aurait pas eu de Rédemption par la mort et la résurrection.

Relativement au catharisme, il reste à démontrer théologiquement qu’il s’agit d’une hérésie, rien ne justifie cette accusation au regard des écrits et de la pensée des cathares, les raisons de cette croisade sont strictement politiques.

Merci d’avoir rappelé que l’on ne peut servir deux maîtres, et que nous nous inscrivons tous dans une Vocation dont le point commun sera toujours l’Amour.

Union dans la prière,

http://www.theologica.fr/index.htm