Ce deuxième volet, - important certes comme toutes les
interventions du curé enragé -, ne
justifierait--il pas une troisième émission sur la lumière apportée par le
Droit Canonique et la Théologie Morale, à l'égard des ecclésiastiques pour
lesquels les faits sont avérés. L'Eglise peut-elle se prévaloir du secret de la
confession dès lors que les conditions du sacrement ne sont pas remplies à
savoir notamment le ferme propos de ne pas recommencer et de faire pénitence :
les conseils du Supérieur ne sont pas non plus une confession et l'habitude de
déplacer l'ecclésiastique vers un autre lieu n'est ni une solution, ni une
réponse au problème posé. Bref, un examen des abus sexuels à la lumière du
Droit Canonique et de la Théologie Morale serait, par son exposé, une ouverture
réelle de l'Eglise au monde, comme témoignage de la prise ne compte interne de
ces abus.
JPB
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire