Vous avez raison. Vous évoquez le Christianisme et c’est
utile, nécessaire, très bien. Ainsi, s’il est un devoir de l’homme à l’égard
de la Nature, n’était-ce pas celui de garder et cultiver, faire prospérer le
champ de la Création en communion avec Dieu, et par sa chute, l’homme entraîna avec lui la chute
de la Création qu’il devait protéger. Il n’est en effet pas d’écologisme, mais un
constat rappelé par l’apôtre : « Aussi la création attend-elle avec un ardent désir la
révélation des fils de Dieu. Car la création a été soumise à la vanité, -non de
son gré, mais à cause de celui qui l'y a soumise, (8:21) avec l'espérance qu 'elle aussi sera affranchie de la servitude
de la corruption, pour avoir part à la liberté de la gloire des enfants de Dieu »
(Rom. VIII, 19-22), ce devoir qui revient à l’homme de sauver la Nature n’est-il
pas sous-entendu lorsqu’à Gethsémani SJ+C déclare en Son dialogue avec le Père : « C'est pour eux que je prie. Je ne prie pas pour le
monde »
(Jean XVII, 9), parce qu’il revient à l’homme , et sans « écologisme »
de sauver le monde.
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