La Grâce vient de Dieu !
Comment dès lors pouvons-nous envisager une injustice venant de Dieu,
l'explication sinon l'excuse serait alors notre négation de QUI EST DIEU,
l'être présumant CONNAITRE et CONTROLER
le monde, la Création, se substituer à Dieu, dans une vision nécessairement
égoïste, puisque ne prenant pas en compte l'autre, les autres, ne cherchant pas
alors à réfléchir sur les raisons d'un événement que nous refuserions, tout
devant être comme nous le pensons : ceci manifeste une ABSENCE de toute
conscience du principe d' ECONOMIE que le Christianisme nomme COMMUNION DES
SAINTS, et par ailleurs un manque
d'humilité.
Ainsi le 6° Canon du 2° Concile d'Orange, tenu en 529 expose
:
" Si quelqu'un dit que la
miséricorde nous est donnée par Dieu lorsque, sans la grâce, nous croyons, nous
voulons, nous désirons, nous faisons des efforts, nous travaillons, nous
prions, nous veillons, nous étudions, nous demandons, nous cherchons, nous
frappons à la porte et qu'il ne confesse pas que notre foi, notre volonté et
notre capacité d'accomplir ces actes comme il le faut se font en nous par
l'infusion et l'inspiration du Saint- Esprit ; s'il subordonne l'aide de la
grâce à l'humilité ou à l'obéissance de l'homme et s'il n'admet pas que c'est
le don de la grâce elle-même qui nous permet d'être obéissants et humbles, il
résiste à l'Apôtre qui dit : " Qu'as-tu que tu n'aies reçu ? " I Cor.
IV,7 et : " C'est par la grâce de Dieu que je suis ce que je suis " I Cor. XV,10." (1)
I - LOI
JUSTICE INJUSTICE ET GRACE
l'Apôtre déclare énigmatiquement peut-être bien
:
" La loi, elle, est intervenue pour que prolifère la faute, mais là où le
péché a proliféré, la grâce a surabondé" (Romains V, 20)
Si des Pères éminents
comme Jean Chrysostome ou Augustin se gardent bien de commenter cette phrase de
Paul, pour sa part Thomas d'Aquin, en son Commentaire
de la lettre de St Paul aux Romains , ne manque pas de reconnaître une
difficulté.
Préalablement le Docteur angélique rappelle :
" Si la Loi commande, elle ne donne pas la
grâce d’accomplir, comme l’enseigne saint Paul (II Cor., III, 6): "La
lettre tue, mais l’esprit vivifie," parce qu’il aide intérieurement notre
faiblesse, comme le même apôtre l’enseigne au ch. VIII de cette épître. b)
Lorsqu’il dit (verset 15): "où n’est pas la Loi," il montre de quelle
manière cette Loi produit la colère, en disant: "Là où n’est pas la Loi, il n’y a pas de prévarication,"
parce que, si l’on peut sans la Loi pécher en agissant contre ce qui est
naturellement juste, on ne peut appeler quelqu’un prévaricateur qu’autant qu’il
transgresse une loi (Psaume CXVIII, 158): "J’ai vu les prévaricateurs de
votre Loi, et je séchais de douleur." (2)
Et de poursuivre :
" La seconde
difficulté porte sur ce que dit S. Paul (verset 20): "Que la Loi est
survenue pour que le péché abondât," d'où il suit que la Loi est mauvaise,
parce que l’institution dont la fin est mauvaise est elle-même mauvaise,
conclusion qui est en contradiction avec ce mot de S. Paul (I Tim., I, 8):
"Quant à la Loi, nous savons qu('elle) est bonne." ajoutant :
" Quant à sa multiplicité.
La Loi, en effet, tout en donnant la
connaissance du péché, ne détruisait pas cependant la convoitise d’où sort le péché". (3)
" Il faut répondre qu’autre est le but de la loi
humaine, autre celui de la loi divine. La loi humaine, en effet, se rapporte au
jugement humain, qui a pour objet les actes extérieurs; mais la loi divine se rapporte au jugement de Dieu, qui prononce sur
les mouvements intérieurs du coeur (I Rois, XVI, 7): "L’homme voit
ce qui parait, mais le Seigneur voit le coeur." (3)
Ainsi que le rappelle l'Apôtre : " nul ne
sera justifié devant lui par les oeuvres de la loi, puisque c'est par la loi
que vient la connaissance du péché" (Rom III,20)
"La
loi est-elle donc contre les promesses de Dieu?" interroge ;l'Apôtre et
de répondre aux Galates : "Loin de
là! S'il eût été donné une loi qui pût procurer la vie, la justice viendrait
réellement de la loi. Mais l'Écriture a tout renfermé sous le péché, afin que
ce qui avait été promis fût donné par la foi en Jésus-Christ."
(Galates III, 21,22).
Les conceptions que nous pourrions avoir sur la justice et l'injustice, dépendent de
l'établissement et du respect d'une Loi sinon de la Loi à l'égard de
laquelle l'éminent kabbaliste et Frère
dans la Foi en Dieu, Emmanuel LEVYNE
explique que la Loi est transitoire et disparaîtra à la venue du Messie (pour
les Chrétiens lors de Sa seconde venue ou Parousie) en son texte fondamental
que nous rappelons souvent : Lettre d'un
kabbaliste à un rabbin - Loi et Création (4). Emmanuel LEVYNE rappelle en ses notes justifiant sa lettre :
- que le règne de la Tora est transitoire (Zohar
I, 27b - 28a)
- que la loi s'est imposée à la suite du péché
du veau d'or (Zohar I, 26b)
- que la loi disparaîtra à la venue du Messie
(Zohar III, 124b)
La Loi est bien transitoire et insuffisante pour
obtenir la Grâce, l'Apôtre rappelant quant à NSJ+C : "Il
nous a sauvés, non à cause des oeuvres de justice que nous aurions faites, mais
selon sa miséricorde." (Tite,
III, 5)
Si la Justice
de la Loi est indépendante de la Grâce, à plus forte raison l'injustice
que nous croyons percevoir, face à la Grâce, ne saurait avoir de sens.
II - LA
GRACE ET LE LIBRE ARBITRE
Si donc la justice et ce que par voie de
conséquence nous qualifions humainement d'injustice, est indépendant de la
Grâce, qu'en est-il du salut ?
La sotériologie trouve sa raison dans le
principe d'une Chute dite adamique, qui appelle deux réflexions :
- 1° La Chute comme universelle à tous les êtres
- 2° La Chute dans un temps précis par nos
premiers parents
A propos de la Chute qui constitue celle de tous
les êtres, Origène, le Père des
Pères, précise en son Contre Celse : ... ainsi pour Adam et sa faute, on trouvera
l'explication en sachant que, traduit en grec, le mot Adam signifie homme, et
que, dans ce qui paraît concerner Adam, Moïse traite de la nature de l'homme.
C'est que, dit l'Écriture, “ en Adam tous meurent ”, et ils ont été condamnés “
pour une transgression semblable à celle d'Adam ” (5)
A propos de la Chute accomplie dans un temps
précis, son scénario et ses conséquences immédiates, le sujet fut maintes fois
rappelé par nos soins (6)
Athanase
d'Alexandrie,
en son traité Sur l'incarnation du Verbe quant
aux conséquences de la Chute déclare : "l'homme
raisonnable, créé selon l'Image, disparaissait et l'oeuvre, suscitée par Dieu
se détruisait." (7)
Cette disparition, cette destruction, ne sont
pas pour autant des situations définitives : il s'agit d'une dynamique qui ne
conduit pas à un jugement rendu en dernier ressort, mais expose un constat qui
s'inscrit dans le temps, à la fin duquel il n'est pas dit que l'Image aura
disparu et que la Création se trouvera détruite.
"Remets-nous
nos dettes. Dans la pensée qu'Adam vit en nous en effet, chacun pour notre part
nous tous, les hommes". (8)
Grégoire
de Nysse explique
: "En vérité, les dettes de nos
frères envers nous, comparées à nos offenses envers Dieu, ne font que quelques
oboles de rien, bien faciles à compter, en regard de talents
innombrables." (9)
Remettre les dettes ! le Père s'écrie : "Mais cette parole demeure sans effets,
elle ne parvient pas jusqu'aux oreilles divines, à moins que notre conscience
n'y joigne sa voix et ne dise qu'il est beau de faire miséricorde. Qui juge en
effet la clémence digne de Dieu, ferait bien de confirmer son jugement de
valeur par ses propres actes. de peur d'entende le juste Juge lui dire :
Médecin, guéris-toi toi-même ! Tu m'invites à la clémence, et à ton prochain,
toi, tu ne l'as pas accordée ! Tu demandes la remise de tes dettes ? Comment
peux-tu donc, toi, étrangler ton
débiteur ? Tu pries qu'on annule ton obligation, toi qui conserves avec soin
les reçus dettes obligés ? Tu sollicites l'abolition de tes dettes, toi qui
nourris d'intérêts ton avoir ? Ton débiteur est en prison, et toi en oraison!
Lui gémit de ce qu'il doit, et toi, tu réclames qu'on t'enlève ta dette ? Ta
prière, on ne l'entend pas, elle est couverte par le bruit de ses
gémissements." (10)
Les Pères de l'Orient Chrétien posent face à la
Chute et ses conséquences le principe d'une interdépendance entre tous les
êtes, alors que l'Occident Chrétien
perçoit dans la faute Adamique le principe d'une hérédité de la Chute
pou chacun d'entre nous.
Augustin interprétera en effet la
parole de l' apôtre : "C'est
pourquoi, comme par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le
péché la mort, et qu'ainsi la mort s'est étendue sur tous les hommes, parce que
tous ont péché" (Romains, V, 12), non pas à partir du grec mais de la
version latine très différente en déclarant :
"Or, c'est bien là cependant
ce que l'Apôtre a dit de nous par rapport au premier homme: « En lui tous ont
péché ». Comment dès lors contester la transmission du péché par
propagation?" (11).
La distinction entre "en lui' et "par
qui" constitue une controverse très importante car donnant vie à deux
conceptions très différentes des conséquences de la Chute. Si donc la version
utilisée par les Pères Latins servira à justifier la doctrine du péché hérité
d'Adam et s'étendant sur ses descendants, l'éminent théologien Jean MEYENDORFF
ne manque pas de préciser au regard de l'exacte sens et traduction de ce
passage : " La mort qui fut "le salaire du péché"(Rom. VI, 23)
pour Adam, est aussi le châtiment qui frappe tous ceux qui pèchent comme lui. Elle
pose que le péché d'Adam a une signification cosmique, mais elle ne dit pas que
les descendants du premier homme sont "coupables" comme lui, à moins
qu'eux aussi pèchent comme lui a péché." (12)
La signification cosmique du péché d'Adam l'est
d'autant plus que la mission d'Adam
était de garder et cultiver le Jardin d'Eden, ce champ de la création
qu'il entraîna dans sa Chute (13).
Il ne convient d'adopter le pessimisme d'Augustin qui déclare : "Quel bien en
effet pourrait accomplir avant d'avoir été arraché à sa misère celui qui s'est
perdu? Serait-ce par un libre effort de sa volonté ? Non, sans doute : car, en
abusant de la liberté, l'homme a perdu ce privilège et s'est perdu lui-même; il
s'est suicidé." (14), l'homme n'a pas perdu le libre arbitre !
Non, l'homme n'a pas perdu sa
liberté et là réside l'une des grandes différences entre l'Orient et l'Occident
au niveau des théologies, lorsque Cyrille
de Jérusalem précise et récuse : "Sache
aussi que tu as une âme libre, chef-d'oeuvre de Dieu, à l'image de son auteur,
immortelle par la grâce de Dieu qui l'a faite immortelle. C'est un être vivant,
raisonnable et incorruptible, par la grâce de celui qui lui a conféré ces
prérogatives, doué de la faculté de faire ce qu'il veut." (15)
III - LA
GRACE ET LE SALUT
Parce que l'homme, malgré la Chute, est libre,
qu'il lui est possible d'agir, de choisir le Bien, il lui revient de coopérer à
la rédemption de cette création qu'il entraîna dans sa Chute, non pas lui,
celui qui me lit qui l'entraînait, mais Adam, duquel nous héritons des Devoir
qui lui incombaient, raison pour laquelle à Gethsémani, le Christ ne prie pas
pour le monde mais pour les hommes... afin qu'à leur tour, ils sauvent le monde
(Jean XVII, 9), qu'ils sauvent ce monde qui est dans les douleurs de
l'enfantement (Romains VIII, 19-22). Aussi, ne soyons pas surpris que nul ne
connaisse l'heure ni les anges ni le Fils
(Mat. XXIV, 36), et pour cause puisque par ses bonnes actions et par ses
prières, l'homme peut hâter le Jour de Dieu (II Pierre, III, 11, 12).
Nos éventuelles interrogations sur la Justice,
l'injustice (je pense à la situation de Toy Davis par exemple) trouvent une
réponse non pas dans la valeur des Lois humaines, mais dans l'Economie qui
s'articule selon deux plans :
- le plan de Dieu qui sera toujours un Mystère
le plan humain qui doit alors être porté par le
principe de la Réparation (16)
Jésus+Christ nous a sauvé, mais n'oublions pas
ce témoignage de Péladan lors de sa
venue en Terre du Christ : " Me voici seul, à minuit, au mont des
Oliviers entre la grotte de l'Agonie et le jardin de Gethsémani ; la lune
tantôt étincelante, tantôt barrée de nuages, illumine par instants le sinistre
paysage. L'heure approche, l'heure où l'humanité fut déshonorée et sauvée, car
la mort de Jésus, c'est à la fois la plus grande accusation contre l'homme et
le coup suprême de la miséricorde... C'est comme complice de l'assassinat du
Calvaire que je viens, plein du remords de ce que j'aurais pu faire contre mon
Dieu, réfléchir et peser ce mot de Pilate : Qu'est-ce que la vérité ?... Je
cherche ma complicité dans la mort du Sauveur, je ne la trouve pas mais elle
existe. Je ne suis ni Judas, ni Caïphe, bi Pilate ; je suis cependant un
bourreau du Christ, puisque je suis un homme !" (17).
Contrairement à la formule souvent évoquée :
"Dieu s'est fait homme pour que l'homme devienne Dieu" et faussement
attribuée à Irénée de Lyon, ce Père
précisant plus exactement : "le
Verbe s'est fait homme, et le Fils de Dieu, Fils de l'homme : c'est pour que
l'homme, en se mélangeant au Verbe et en recevant ainsi la filiation adoptive,
devienne fils de Dieu" (18)
Ainsi, l'homme entre dans le principe de
participation qui ne saurait le concerner lui seul mais touche l'ensemble des
êtres devant dire oui à ce salut, c'est ce que le monde Latin nomme Communion
des Saints.
Il serait possible d'analyser plus avant notre
ou nos Devoirs , des notes renvoient à ces derniers où si l'homme est déjà
sauvé, il lui revient :
-d'une part d'accepter son salut en disant OUI à
l'appel de Dieu
d'autre part d'agir en faveur de ceux qui
pourraient n'avoir pas dit OUI à cet appel,
- enfin d'agir pour la Création qui fut
entraînée dans la Chute malgré elle
Cela, par les bonnes actions et par les prières
ainsi que le rappelait Pierre.
Aussi, comprendrons-nous cette remarque livrée
par le RP TURINCEV : " Un saint moine du Mont Athos, un storetz qui fut presque notre contemporain, écrit ce qui
suit, en s'adressant à
chaque chrétien : « Quand le Seigneur t'aura sauvé avec toute la multitude de tes frères,
et quand il ne resterait
qu'un seul des ennemis du Christ et de l'Eglise dans les ténèbres extérieures, ne te
mettras-tu pas avec tous les
autres à implorer le Seigneur afin que soit sauvé cet unique frère non repenti ? Si tu ne le
supplies pas jour et nuit,
alors ton cœur est de fer, — mais on n'a pas besoin de fer au paradis. » (19)
JPB------------------- Notes
1 - Concile d’ORANGE II (529) In Les canons des conciles mérovingiens(IV+ VII° siècles) Pais Cerf Ed, coll. SC, page 159.
Les canons 5 et 6 de ce Concile sont les seuls semble-t-il à traiter
dans l'histoire des conciles "occidentaux" de la Grâce.
Nous utilisons par commodité,
l’édition Internet certes incomplète face à l’éditions du Cerf, mais utile, des Symboles et définitions de
la Foi Catholique de DENZINGER :
http://catho.org/9.php?d=g0
Pour
l’accès aux canons cités : http://catho.org/9.php?d=bv5#crg
2
- Thomas d'Aquin : Commentaire de la lettre de St Paul
aux Romains, commentaire Rom. IV, 11-15.
Pour un accès aisé : http://www.documentacatholicaomnia.eu/03d/1225-1274,_Thomas_Aquinas,_Biblica._Super_Epistulam_ad_Romanos,_FR.pdf
3 - Thomas d'Aquin : op cité, commentaire
Rom. V, 20 & 21
4 - Emmanuel LEVYNE : Lettre d'un
kabbaliste à un rabbin, Paris, TSEDEK Ed, 1978. Pour un accès Internet :
http://www.kabbale.eu/lettre-d-un-kabbaliste-a-un-rabbin/
http://theologie-et-questions-disputeses.blogspot.com/2011/08/lettre-dun-kabbaliste-un-rabbin.html
Pour les références au Zohar, la
traduction à choisir est celle de Jean de Pauly, en l'espèce, Paris, Ed Maisonneuve et Larose, 1975 :1° tome 1 pages 174 et 175 ; 2°
tome I, page 167 ; 3° tome V, page 322. Le 2° lien donne les textes en la 2° Partie.
5 - ORIGENE : Contre Celse,
IV, 40, SC N° 136, Paris Cerf Ed, 1968, page 289. Pour la présente
transcription, est utilisé le CD VERBUM DOMINI : Le texte est présentement
strictement identique.
6 - J-P BONNEROT : Sathan
Lucifer le Prince de ce monde et les démons dans la tradition chrétienne
et l'exégèse scripturaire Cahiers d'Etudes Cathares N° 96, hiver 1982,
pages 8 & 9 notamment.
Pour un accès via Internet en ce cas
pages 6 à 8 selon le lien :
http://misraim3.free.fr/divers2/SATAN.PDF
7 - Athanase d'Alexandrie : Sur
l'Incarnation du Verbe 6,1. SC N° 199, Paris Cerf Ed, 1973, page 283. Nous
n'avons pas trouvé d'édition électronique sur Internet.
8 - Grégoire de Nysse : La Prière
du Seigneur homélie V, 4, DDB Ed, 1981, page 91
9 - Id, IX, page 96
10 - Id, VII, page 95 Nous n'avons
pas trouvé d'édition électronique sur Internet.
11 - AUGUSTIN : Controverse avec
les Pélagiens - Du mérite et de la rémission des péchés et du baptême des
petits enfants I, 10, 11
Pour un accès aisé via Internet :
http://www.abbaye-saint-benoit.ch/saints/augustin/polemiques/pelage/pelage1.htm#_Toc29824268
12 - Jean MEYNEDORFF : Initiation
à la théologie Byzantine Paris, Cerf Ed, 1975, pages 194 & 195.
Signalons la réédition de ce livre fondamental aux Ed du Cerf;
13
- Cette question fut plusieurs fois examinée, nous renvoyons à nos précédents
travaux :
http://ordre-de-lyon.blogspot.com/2011/11/ma-croyance-dans-dieu-dans-les.html
http://ordre-de-lyon.blogspot.com/2011/06/les-francs-jardiniers.html
14
- AUGUSTIN : Traité de la Foi, de
l'Espérance et de la Charité. ch. 30.
Je conseille l'acquisition du CD relatif aux oeuvres de nombreux Pères,
près l'abbaye St Benoît de Port- Valais. Pour un accès déjà sur Internet :
http://www.abbaye-saint-benoit.ch/saints/augustin/foi/index.htm
15
- Cyrille de Jérusalem : Catéchèses,
4° Catéchèse, § 18, Namur, Ed du soleil levant, 1961, pages 93 &
94.Pour un accès via Internet aux oeuvres complètes : http://www.archive.org/details/opensource
16
- J-P BONNEROT : Approche d'une
explication de la doctrine de la Réparation Revue VIRGO FIDELIS N° 197,
juillet 2003, pages 9 ss, Pour un accès Internet : http://theologie-et-questions-disputeses.blogspot.com/2005/10/4-approche-dune-explication-de-la.html
17
- J. PELADAN : La Terre du Christ
Paris, Flammarion Ed, 19O1, pages 283, 284 et 288 (extraits)
18
- Irénée de Lyon : Contre les
hérésies III, 19,1; Paris Ed du Cerf, 1984, page 368.Nous utilisons
l'édition n'offrant que la traduction française, reprenant l'édition des
Sources Chrétiennes. Pour un accès aisé via Internet : http://remacle.org/index2.htm
19
- RP Alexandre TURINCEV : L'Eschatologie
Orthodoxe Revue CONTACTS N° 54,
1966, page 103.
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