avril 22, 2019

Pour revenir à l’absence de Réconciliation de N-D de Paris, et la conservation intacte de l’ancien autel, lui, consacré…


De l’absence de toute cérémonie liturgique de Réconciliation de la cathédrale suite aux actions profanatrices de Femen, il sera observé que ce qui était validement consacré est resté intact comme l’autel ancien … Il ne s’agit pas de hasard ni de magie, mais du respect d’un minimum de science liturgique, d’où le fait que ce qui n’était pas préalablement béni ou consacré selon les Rituel de la consécration d’un autel, de la lustration extérieure et intérieure (murs, j’ajouterai piliers) de l’édifice (cathédrale, église), comme sans doute selon les usages liturgiques ne furent pas respectés pour le nouvel autel, celui-ci n’est plus, l’ancien lui est intact !

On prêtera attention à ce qui est dit à 1’ 21’’
https://youtu.be/sQ6xFXgS3Hs

Il ne s’agit pas de miracle mais de liturgie, si donc l’ancien autel, lui, est demeuré intact.

Une cérémonie de Réconciliation aurait réparé la profanation et permis au lieu de recouvrer la bénédiction partiellement perdue.

L’un des drames de l’Eglise Latine, ce n’est pas par lui-même le changement dans les rites, mais la perte de la conscience du Sacré, nous ne sommes pas, par la liturgie dans le monde des symboles et de la symbolique, mais dans celui de la Communion entre le visible et l’invisible.

Jean-Pierre BONNEROT